Avis scientifique 2012/035

Points de référence conformes à l'approche de précaution pour une variété de stocks dans la région des Maritimes

Sommaire

Généralités

• Les fondements scientifiques des points de référence limites, des points de référence supérieurs et des points d'exploitation de référence ont été proposés ou présentés pour une variété de stocks de poissons et d'invertébrés de la région des Maritimes. On s'attend à ce que ces points de référence (notamment les points de référence supérieurs et d'exploitation de référence) soient examinés par des représentants de l'industrie de la pêche et d'autres membres du comité consultatif avant d'être adoptés et mis en œuvre, et ce, tout en insistant particulièrement sur l'incorporation appropriée de facteurs socio-économiques.
• Les approches proposées en matière de sélection des points de référence pour les stocks modélisés, évalués de façon empirique et peu documentés de la région des Maritimes font usage de différentes méthodes selon l'information disponible pour chaque stock et ont été examinées en vue d'assurer leur uniformité avec le cadre de l'approche de précaution du MPO.
• On a supposé que les relevés et autres sources de données utilisées pour établir des points de référence continueront d'être accessibles, sous une forme quelconque, afin de permettre la surveillance de l'état des stocks relativement à ces points.

Stocks modélisés

Flétan de l'Atlantique dans 3NOPs4VWX+5

• Les points de référence de l'approche de précaution pour le flétan de l'Atlantique dans 3NOPs4VWX+5, établis selon un modèle de production Sissenwine-Shepard modifié qui utilise l'ensemble des séries chronologiques, ont été présentés à titre d'information seulement.
• Un point de référence limite de 1 960 t, soit 40 % de la biomasse du stock de reproducteurs au rendement maximal soutenu (BSR_RMS), et un point de référence supérieur de 3 920 t, soit 80 % de la BSR_RMS, ont été présentés.
• Les mortalités de poissons (F) au rendement maximal soutenu (F_RMS = 0,36) ont été présentées à titre de point d'exploitation de référence limite.
• Un point d'exploitation de référence cible de 0,2 a été proposé selon l'examen des données (mortalités naturelles et un taux offrant des possibilités de croissance) et selon des discussions avec des représentants de l'industrie.

Morue de l'Atlantique dans 4X5Y

• Un point de référence limite et un point d'exploitation de référence limite ont été présentés pour la morue de l'Atlantique dans 4X5Y à titre d'information seulement. Un point de référence supérieur a également été proposé.
• Le point de référence limite (24 000 t) a été établi selon un modèle de stock-recrutement Beverton-Holt qui utilise l'ensemble des séries chronologiques. Le point d'exploitation de référence limite (0,2) était de F_0,1 dans les années 1990. Le point de référence supérieur (48 000 t) équivaut au double du point de référence limite.

Morue de l'Atlantique dans 5Zjm

• Un point de référence limite pour la morue de l'Atlantique dans 5Zjm a été présenté à titre d'information seulement.
• Le point de référence limite (21 000 t) a été établi selon un modèle de stock-recrutement Beverton-Holt qui utilise l'ensemble des séries chronologiques.

Morue de l'Atlantique dans 4VsW

• Un point de référence limite pour la morue de l'Atlantique dans 4VsW a été présenté à titre d'information seulement. Un point de référence supérieur a également été proposé.
• Le point de référence limite (50 000 t) a été établi à 40 % de la BSR_RMS durant la période productive antérieure à 1990.
• Le point de référence supérieur (100 000 t) a été établi à 80 % de la BSR_RMS durant la période productive antérieure à 1990.

Aiglefin dans 5Zjm

• La biomasse au rendement maximal soutenu (B_RMS) et un point de référence limite pour l'aiglefin dans 5Zjm ont été présentés aux fins d'examen.
• La B_RMS (78 000 t) a été calculée à l'aide d'un modèle de production Sissenwine-Shepherd pour l'ensemble des séries chronologiques. Le point de référence limite (10 340 t) a été établi selon la B_{rétablissement}.

Aiglefin dans 4X5Y

• Les points de référence de l'approche de précaution pour l'aiglefin dans 4X5Y, établis selon un modèle de production Sissenwine-Shepard qui utilise l'ensemble des séries chronologiques, ont été présentés à titre d'information seulement.
• Un point de référence limite de 20 800 t, soit 40 % de la BSR_RMS, et un point de référence supérieur de 41 600 t, soit 80 % de la BSR_RMS, ont été présentés.

Crabe des neiges dans 4VWX

• Les points de référence de l'approche de précaution pour le crabe des neiges dans 4VWX, établis selon un modèle modifié de dynamique de la biomasse qui utilise l'ensemble des séries chronologiques, ont été présentés aux fins d'examen.
• On a proposé un point de référence limite représentant 25 % de la capacité de charge de la biomasse exploitable et un point de référence supérieur représentant 50 % de la capacité de charge.
• Le F_RMS a été proposé à titre de point d'exploitation de référence limite. Un point d'exploitation de référence cible d'une valeur de 10 à 30 % de la biomasse exploitable a été proposé en fonction d'un examen de la biologie de l'espèce, de l'historique de comportement du stock et de discussions avec des représentants de l'industrie.
• On s'attend à ce que les valeurs réelles associées aux points de référence de la biomasse varient avec le temps par suite de la brièveté relative des séries chronologiques actuelles.

Plie canadienne dans 4VWX

• Les points de référence de l'approche de précaution pour la plie canadienne dans 4VWX, établis selon un modèle de population axé sur les étapes et lié à l'ensemble des séries chronologiques qui permet d'estimer le rendement maximal soutenu, ont été présentés aux fins d'examen.
• Un point de référence limite (12 952 t) de 40 % de la biomasse du stock de femelles reproductrices au rendement maximal soutenu et un point de référence supérieur (25 905 t) de 80 % du stock de femelles reproductrices au rendement maximal soutenu ont été proposés.
• Un F_RMS de 0,16 a été proposé à titre de point d'exploitation de référence limite.

Goberge de la composante Ouest (4Xopqrs5)

• Une approche d'évaluation de la stratégie de gestion a été appliquée à la gestion de la goberge de la composante Ouest (4Xopqrs5). L'approche d'évaluation de la stratégie de gestion et une règle de contrôle des prises ont été présentées à titre d'information seulement. La façon de traduire ces éléments en points de référence de l'approche de précaution a soulevé certaines discussions.
• Le point de référence limite pourrait être défini à titre de ratio de l'indice du relevé (J_y) = 0,2, par exemple si l'indice de biomasse du relevé de la moyenne géométrique sur trois ans chutait à 20 % de l'indice de biomasse du relevé de la moyenne géométrique de 1984-1994. Cela dit, on a estimé qu'un J_y équivalant à 1,0, par exemple lorsque l'indice de biomasse du relevé de la moyenne géométrique sur trois ans atteint une valeur égale à celle de l'indice de biomasse du relevé de la moyenne géométrique de 1984-1994, ne reflétait pas la définition d'un point de référence limite. La courbe de ratio de l'indice du relevé ne sert pas directement à établir des limites de prises; ainsi, on a jugé qu'elle ne représentait pas un point d'exploitation de référence.

Stocks empiriques

Goberge de la composante Est (4VWXmn)

• Un point de référence limite et un point de référence supérieur pour la goberge de la composante Est (4VWXmn) ont été présentés aux fins d'examen selon un indicateur de B_RMS qui utilise des données provenant de la série chronologique du relevé estival effectué par un navire de recherche du MPO (1970-2011).
• Le point de référence limite proposé (40 % de l'indicateur de B_RMS) a été évalué à 20 100 t et le point de référence supérieur proposé (80 % de l'indicateur de B_RMS) a été évalué à 40 100 t.

Sébaste dans l'unité 3

• Les points de référence biologiques du sébaste dans l'unité 3 ont été présentés à titre d'information seulement selon un indicateur de BM_RMS tiré de la moyenne du relevé estival effectué par un navire de recherche du MPO (1970-2011). Par ailleurs, un point d'exploitation de référence a été présenté aux fins d'examen.
• Un point de référence limite de 29 000 t, soit 40 % de la B_RMS, et un point de référence supérieur de 58 000 t, soit 80 % de la B_RMS, ont été présentés.
• Un point d'exploitation de référence cible (0,068) a été proposé selon le taux maximal relatif de mortalité par pêche (F) qui n'entraînerait aucune réduction de la biomasse de la population.

Brosme dans la région des Maritimes

• Un point de référence limite et un point de référence supérieur pour le brosme dans la région des Maritimes ont été présentés aux fins d'examen.
• Le point de référence limite et le point de référence supérieur proposés (qui s'élèvent à 13,3 kg/1 000 crochets et à 26,6 kg/1 000 crochets, respectivement) ont été calculés à 40 % et à 80 % de l'indicateur de rendement maximal soutenu (prises commerciales à la palangre par unité d'effort pendant une période où les taux de prises sont élevés, 1986-1992).
• La moyenne géométrique des prises par unité d'effort sur trois ans (2009-2011) du relevé concernant la pêche du flétan à la palangre réalisé par l'industrie est de 18,2 kg/1 000 crochets, ce qui laisse entendre que le stock se trouve dans la zone de prudence.

Hareng dans le sud­ouest de la Nouvelle­Écosse et dans la baie de Fundy

• Un point de référence limite pour le hareng du sud-ouest de la Nouvelle-Écosse et de la baie de Fundy a été présenté aux fins d'examen.
• Au vu de la preuve du déclin des frayères, du ciblage des juvéniles dans la cadre de la pêche, de la baisse des prises, ainsi que des avis scientifiques faisant valoir la nécessité d'un rétablissement, il est suggéré d'utiliser la valeur moyenne du relevé acoustique de 2005 à 2010 comme point de référence limite pour le hareng du sud-ouest de la Nouvelle-Écosse et de la baie de Fundy (banc German et baie Scots).
• La stabilité de 2005 à 2010 appuie ce choix de point de référence limite et offre des données permettant de choisir un point en dessous duquel le risque de nuire au stock serait inacceptable. D'autres facteurs aboutissant au choix de ce point sont liés à l'objectif visant à éviter les répercussions négatives sur l'écosystème ainsi qu'à la perte de possibilités de pêche à long terme.

Mactre de Stimpson dans les Grands Bancs et le Banquereau

• Des points de référence de l'approche de précaution liés au mactre de Stimpson des Grands Bancs et du Banquereau ont été présentés aux fins d'examen.
• Un point d'exploitation de référence cible correspondant à un taux de mortalité par pêche de 0,33 MB (0,0264) a déjà été recommandé pour le mactre de Stimpson du Banquereau, alors qu'une approche semblable a été recommandée pour le mactre de Stimpson des Grands Bancs.
• En utilisant la biomasse exploitable par recrue et l'estimation de la moyenne de recrutement, un indicateur de B_RMS de 1 015 059 t a été proposé pour le mactre de Stimpson du Banquereau. À l'aide des indicateurs de B_RMS par défaut de 80 % et de 40 %, un point de référence supérieur de 812 047 t et un point de référence limite de 406 024 t ont été proposés pour le Banquereau.
• En utilisant la biomasse exploitable par recrue et l'estimation de la moyenne de recrutement, un indicateur de B_RMS de 703 065 t a été proposé pour le mactre de Stimpson des Grands Bancs. À l'aide des indicateurs de B_RMS par défaut de 80 % et de 40 %, un point de référence supérieur de 562 452 t et un point de référence limite de 281 226 t ont été proposés.
• Les deux stocks se trouvent actuellement dans la zone saine et ont donc dépassé leurs objectifs en matière de biomasse.

Pétoncle côtier et hauturier dans la région des Maritimes

• L'industrie de la pêche hauturière du pétoncle a établi un point de référence limite, un point de référence supérieur et un point d'exploitation de référence cible pour la pêche du pétoncle dans le banc de Georges en vue de répondre aux exigences de certification du Marine Stewardship Council; ces points ont été présentés à titre d'information seulement. Les points de référence biologiques ont été fixés à 30 % (point de référence limite = 3 000 t) et à 80 % (point de référence supérieur = 8 000 t) de la biomasse moyenne du modèle de population lié à l'évaluation des stocks de 1981-2009 à titre d'indicateur de B_RMS (10 000 t). Le taux d'exploitation cible (0,25) correspond au taux d'exploitation moyen depuis 1999, où la biomasse de la population était restée au-dessus de la moyenne. Une approche semblable a été proposée pour les pétoncles du banc de Browns.
• Pour la pêche côtière du pétoncle, le point d'exploitation de référence cible de 0,15 actuellement utilisé a été proposé pour des régions faisant usage de modèles de population. Pour ces régions, on a proposé des points de référence limites fixés selon le niveau de biomasse le plus faible à partir duquel les stocks se sont rétablis. Par ailleurs, des études seront menées dans les régions ne faisant pas usage de modèles en vue d'explorer la possibilité d'utilisation du taux de prises commerciales et du taux de prises relevé à titre d'indicateurs de biomasse et la possibilité d'utilisation des efforts à titre d'indicateur d'exploitation.
• Des recherches sont actuellement orientées vers l'établissement de points de référence pour la zone de pêche du pétoncle 29 selon un modèle servant à établir la qualité de l'habitat dont on a démontré la correspondance avec l'aire de distribution de la pêche.

Crevette dans le plateau néo-écossais (4VWX)

• Des points de référence de l'approche de précaution liés à la crevette du plateau néo-écossais ont été présentés aux fins d'examen.
• Un point de référence limite et un point de référence supérieur de 30 % (5 459 t) et de 80 % (14 558 t), respectivement, de la moyenne de biomasse du stock de reproducteurs maintenue durant la pêche moderne (2000-2010) ont été proposés.
• Certains indicateurs secondaires, qui ont également été proposés aux fins d'examen, ont été utilisés pour éclairer la prise de mesures de gestion (p. ex. le total autorisé des prises).
• Un point d'exploitation de référence cible de 20 % de la biomasse du stock de reproducteurs (exploitation des femelles) a été proposé.
• Ces points de référence ont été établis pour une période productive, et il se peut qu'on doive les réviser si le taux de mortalité naturelle augmente considérablement.

Homard côtier (zones de pêche du homard [ZPH] 27-36, 38)

• Des points de référence limites et des points de référence supérieurs pour le homard côtier (zones de pêche du homard 27-36, 38) ont été présentés aux fins d'examen.Une approche visant à fixer un point d'exploitation de référence limite a également été proposée.
• Des points de référence de l'approche de précaution ont été fournis pour le homard côtier selon les zones de pêche du homard, et un indicateur de B_RMS a été évalué à titre de médiane des débarquements pendant une période productive. Des valeurs de 80 % et de 40 % de l'indicateur de B_RMS ont été proposées en tant que point de référence supérieur et point de référence limite. Pour les endroits où l'on a constaté des débarquements plus faibles de 1985 à 2009 dont la pêche s'est rétablie, on a proposé le point le plus faible d'une moyenne mobile de trois ans à titre de point de référence limite.
• Certains indicateurs secondaires liés au homard pourraient changer la perception de l'état du stock et éclairer les mesures de gestion prises en raison de changements concernant la situation du stock. Les zones de pêche du homard ne sont pas des unités biologiques, et le lien qui les unit devrait être reconnu à l'échelle des indicateurs secondaires.
• En vertu des conditions actuelles, les homards semblent résistants aux taux d'exploitation élevés. Si l'on devait adopter un point d'exploitation de référence, on proposerait un point se trouvant dans la fourchette supérieure (p. ex. 90^e centile) des estimations formulées de 1999-2010.

Homard hauturier (zone de pêche du homard 41)

• Dans le cadre des conditions du Marine Stewardship Council en matière de pêche hauturière du homard (zone de pêche du homard 41), des points de référence de l'approche de précaution sont en voie d'élaboration. Les progrès à ce jour ont été présentés aux fins d'information et de commentaires.
• Il a été proposé que le nombre moyen par trait des relevés estivaux et hivernaux effectués au chalut par un navire de recherche du MPO soient évalués à titre d'indicateur de biomasse (B_RMS) pour les parties 4X et 5Z du stock de homard hauturier.
• Les taux d'exploitation ne peuvent être estimés directement, mais on laisse entendre qu'ils sont faibles en raison de la stabilité de la structure de la taille depuis le début de la pêche en 1972. Sans aucune estimation directe des taux d'exploitation, il a été proposé que la taille médiane soit utilisée à titre d'indicateur ou d'indice du taux d'exploitation.
• Des indicateurs secondaires (combinés aux indicateurs primaires) ont été proposés pour évaluer la santé du stock et pour aider à déterminer les mesures de gestion à prendre dans l'éventualité de changements concernant la situation du stock.

Saumon de l'Atlantique dans la région des Maritimes

• Des points de référence limites pour le saumon de l'Atlantique dans la région des Maritimes (zones 19, 20, 21 et 23) ont été présentés aux fins d'examen.
• Le travail empirique définissant 2,4 œufs/m² d'habitat de croissance fluvial comme exigence en matière de conservation du saumon de l'Atlantique, son adoption par le Comité scientifique consultatif des pêches canadiennes dans l'Atlantique et de récentes recherches appuyant la relation Beverton-Holt qui concernent la dynamique des populations indiquent que, dans la région des Maritimes, l'exigence en matière de conservation est conforme à un point de référence limite inhérent au cadre de l'approche de précaution.
• Selon l'exigence de 2,4 œufs/m² d'habitat de croissance fluvial, les valeurs individuelles de certaines rivières ont été estimées à l'aide de méthodes conformes aux conseils provenant du cadre et permettant de traiter des changements concernant la productivité. Il a été proposé que ces valeurs estimatives soient utilisées à titre de points de référence limites individuels pour les rivières de la région des Maritimes.
• Étant donné l'état du stock et le niveau de prélèvements de poissons actuels, il a été indiqué que l'entreprise d'autres recherches visant la précision des points de référence et l'amélioration des règles de contrôle des prises pour les prélèvements attribuables à la pêche dans cette région semblait injustifiée. On a plutôt indiqué qu'il était nécessaire d'entreprendre des recherches visant à orienter les plans d'action en matière de rétablissement pour limiter convenablement les mortalités de toutes sources ou augmenter la productivité.

Anguille d'Amérique dans la région des Maritimes

• Un point de référence limite et un point d'exploitation de référence pour l'anguille d'Amérique dans la région des Maritimes ont été présentés à titre d'information seulement.
• Une méthode de modélisation du nombre de reproducteurs par recrue (NRR) a été utilisée pour définir les points de référence en matière de mortalité; le taux de mortalité représentant 30 % du nombre de reproducteurs par recrue (F_30 %NRR) a été proposé à titre de point d'exploitation de référence limite et le taux de mortalité représentant 50 % du nombre de reproducteurs par recrue (F_50 %NRR) a été proposé à titre de point d'exploitation de référence cible.

Stocks peu documentés

Concombre de mer dans la région des Maritimes

• Deux approches permettant de fixer des points de référence pour le concombre de mer dans la région des Maritimes ont été proposées; l'une selon le poids éviscéré et l'autre selon les renseignements sur l'habitat spatial.

Le présent avis scientifique est le fruit de réunions de consultation scientifique régionales tenues du 6 au 9 février 2012 ; examen des niveaux de référence de l'approche de précaution pour diverses ressources halieutiques dans la région des Maritimes. Toute autre publication découlant de cette réunion sera publiée lorsqu'elle sera disponible sur le calendrier des avis scientifiques du secteur des Sciences du MPO.

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