Copépodes parasites des homards
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Catégorie
Catégorie 3 (pas d'hôte au Canada)
Noms courants et généralement admis de l'organisme ou de l'agent pathogène
Copépodes parasites des homards.
Nom scientifique ou affiliation taxonomique
Nicothoë astaci.
Répartition géographique
Îles Orcades (Écosse).
Espèces hôtes
Homarus gammarus (=vulgaris).
Impact sur l'hôte
Ce copépode choniostomatide se fixe à un filament branchial au moyen de sa bouche suceuse, perce la paroi du filament avec des mandibules styliformes et se nourrit de l'hémolymphe. Ces copépodes sont souvent présents en groupe à proximité de la base des branchies. À chaque mue de l'hôte, les copépodes fixés sont rejetés avec l'ancienne carapace et meurent, mais une réinfestation par des copépodes au stade ultime peut se produire avec une certaine ampleur peu de temps après la mue, avant que les branchies ne durcissent à nouveau.
Techniques de diagnostic
Observations générales
Des copépodes parasites fixés en permanence à la base des branchies. La femelle adulte (corps de 1,2 à 1,7 mm de long) avec deux larges extensions latérales ou ailes (jusqu'à 4 mm de long) sur le thorax et deux poches d'œufs ovales (jusqu'à 3 mm de long) attachées à leur abdomen. Les juvéniles présentent une apparence similaire, mais n'ont pas de sacs d'œufs et sont d'une taille moindre. Aucun mâle n'a été trouvé sur des homards.
Méthodes de contrôle
On ne connaît pas de méthode de prévention ou de contrôle.
Références
Mason, J. 1959. The biology of Nicothoë astaci Audouin and Milne Edwards. Journal of the Marine Biological Association of the United Kingdom 38: 3-16.
Citation
Bower, S.M. (1996): Précis des maladies infectieuses et des parasites des mollusques et des crustacés exploités commercialement: Copépodes parasites des homards.
Date de la dernière révision : Automne 1996
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