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Symposium sur l'épaulard résident du sud

Du 10 au 12 octobre 2017
Vancouver (Colombie-Britannique)

Rapport sur « Ce que nous avons entendu »

RÉSUMÉ

L'épaulard résident du sud est une espèce en voie de disparition en vertu de la Loi sur les espèces en péril. Elle est considérée en péril du fait de la faible densité de sa population (qui compte maintenant 76 individus), de son faible taux de reproduction et d'un éventail de menaces causées par l’activité humaine, qui sont susceptibles d'empêcher son rétablissement ou de conduire à des déclins plus importants. Parmi les principales menaces, mentionnons la disponibilité ou la qualité des proies, les perturbations physiques et acoustiques, ainsi que les contaminants de l'environnement.

Le gouvernement du Canada s'est engagé à assurer la protection et le rétablissement de l'épaulard résident du sud, qui s’avère une espèce emblématique de la côte Ouest du Canada et d'une valeur culturelle importante pour les peuples autochtones.

En novembre 2016, le gouvernement du Canada a annoncé sur le plan national le Plan de protection des océans, financé à hauteur de 1,5 milliard de dollars, dans lequel il s'engage à contrer les menaces qui pèsent sur les populations de mammifères marins en péril, dont l'épaulard résident du sud. Dans le cadre d’une mobilisation en personne et en ligne, le gouvernement du Canada a collaboré avec les intervenants clés et les groupes autochtones au cours des derniers mois, en vue d’améliorer notre compréhension des menaces auxquelles la population des épaulards résidents du sud est confrontée. Afin de concrétiser cet engagement, le gouvernement du Canada s'appuiera sur le travail exhaustif déjà accompli à ce jour pour élaborer une stratégie en réponse à ces menaces afin d'appuyer le rétablissement de l'espèce.

Le Symposium sur l'épaulard résident du sud, tenu les 11 et 12 octobre 2017 à Vancouver (Colombie-Britannique), a constitué un jalon essentiel pour permettre à toutes les parties de mieux comprendre les menaces pesant sur l'épaulard résident du sud et des mesures nécessaires à sa protection et à son rétablissement. Le Symposium était aussi composé d’ateliers techniques sur les menaces principales pesant sur l'épaulard résident du sud, qui se sont déroulés le 10 octobre 2017.

Les objectifs du Symposium visaient à :

  1. S'assurer que toutes les parties intéressées comprennent parfaitement les données scientifiques les plus récentes sur l'épaulard résident du sud, ainsi que les défis à court, à moyen et à long terme et les solutions possibles qui remédient aux menaces auxquelles cette population est confrontée.
  2. Stimuler le dialogue pour améliorer notre compréhension commune des enjeux complexes et des responsabilités collectives que partagent les parties intéressées à l'égard de la protection et du rétablissement de l'épaulard résident du sud.
  3. Déterminer les éléments requis en matière de gouvernance, de relations et de partenariats pour assurer la protection et le rétablissement de l'épaulard résident du sud, tout en tenant compte des rôles et responsabilités futurs et des possibilités de recherche coopérative.

Le Symposium a attiré 329 délégués inscrits, issus de tous les ordres de gouvernement au Canada, du gouvernement fédéral et des États américains, ainsi que du milieu universitaire, des organisations non gouvernementales, de l'industrie et des communautés autochtones.

Le présent rapport fournit un compte rendu des commentaires formulés lors du Symposium par les délégués et les conférenciers, afin que les parties intéressées disposent du contexte nécessaire pour participer aux solutions qui seront mises en œuvre.

Les discussions ont permis de dégager un certain nombre de suggestions concrètes que le gouvernement du Canada peut mettre en place avec l'aide de ses partenaires pour aller au-delà de l'atténuation des menaces et viser la stabilisation et le rétablissement de la population. Les délégués ont exprimé plusieurs points de vue divers durant le Symposium, et un large consensus a été atteint pour les énoncés suivants :

Dans le cadre de notre engagement envers l'épaulard résident du sud, nous allons collaborer avec tous les intervenants et les groupes autochtones afin de définir la marche à suivre et les principales mesures à prendre dans l'immédiat et à plus long terme pour garantir la protection de cette espèce importante et emblématique.

MOT D'OUVERTURE DU SYMPOSIUM

L'honorable Dominic LeBlanc, ministre des Pêches, des Océans et de la Garde côtière canadienne

Messages clés

Le ministre LeBlanc a pris acte de la présence du peuple Salish du littoral, sur le territoire traditionnel duquel se déroule le Symposium, et a souligné que le Symposium avait pour objectifs de créer un espace de dialogue collaboratif et d'instaurer une responsabilité collective quant à la protection et au rétablissement de l'épaulard résident du sud.

Le programme a permis à tous les intervenants clés et toutes les communautés autochtones d’exprimer leurs points de vue sur les besoins en matière de protection et de rétablissement de l'épaulard résident du sud. Le gouvernement du Canada a déjà pris des mesures pour permettre le rétablissement à long terme de l'épaulard résident du sud, notamment :

« Individuellement, chacun de nous a la capacité de provoquer des changements dans une moindre mesure. Toutefois, si nous voulons observer des changements significatifs et durables à une échelle beaucoup plus grande, nous devons investir collectivement dans la santé de nos océans et gérer les écosystèmes marins de manière plus cohérente. Cette approche nous permettra non seulement de réduire les agents de stress associés aux activités humaines, mais aussi d'augmenter la résilience d'espèces telles que l'épaulard résident du sud. »

L'honorable Dominic LeBlanc, ministre des Pêches, des Océans et de la Garde côtière canadienne

CONSIDÉRATIONS PRÉLIMINAIRES AU SYMPOSIUM : TOUR D'HORIZON DU GOUVERNEMENT DU CANADA

Natasha Rascanin, sous-ministre adjointe, Transports Canada

Messages clés

Au sein du gouvernement fédéral, Pêches et Océans Canada (MPO), Transports Canada (TC) et Environnement et Changement climatique Canada (ECCC) ont tout un rôle important à jouer dans la protection et le rétablissement de l'épaulard résident du sud.

Pêches et Océans Canada (MPO) est responsable de :
Transports Canada (TC) est responsable de :
Environnement et Changement climatique Canada (ECCC) est responsable de :

Dans le cadre du Plan de protection des océans, le MPO a été chargé d'effectuer un examen scientifique de l'efficacité de la gestion et des mesures de rétablissement actuelles pour trois espèces de baleines en voie de disparition : la baleine noire de l'Atlantique Nord, le béluga de l'estuaire du Saint-Laurent et l'épaulard résident du sud. Le MPO a fait part des conclusions de cet examen et a consulté, entre juin et septembre 2017, tous les ordres de gouvernement, les groupes autochtones, les intervenants et le public, pour déterminer les mesures prioritaires à prendre. Un rapport intitulé « Ce que nous avons entendu », le fruit direct de ces séances de mobilisation, sera publié dans un proche avenir.

Nul groupe ou ordre de gouvernement ne peut à lui seul trouver des solutions aux difficultés actuelles, et le gouvernement du Canada reconnaît que plusieurs intervenants et peuples autochtones jouent déjà un rôle important dans la détermination, l'analyse et la mise à l'essai de solutions potentielles. D'importants travaux ont déjà été amorcés avec nos partenaires canadiens, américains et étrangers, et nous devons poursuivre notre collaboration pour cerner des occasions d'action et de coopération.

PRÉSENTATION DES PREMIÈRES NATIONS SUR LES LIENS ENTRE LES MENACES

Teresa Ryan, Ph. D., Première Nation Tsimshian; Tim Kulchyski, Première Nation Cowichan; Carleen Thomas, Première Nation Tsleil-Waututh; Ray Harris, Première Nation Stz'uminus

Messages clés

Les épaulards sont très importants pour les Premières Nations, et sont à l'honneur dans plusieurs de leurs récits. Par exemple :

Il est facile de dire que les épaulards sont importants et emblématiques, mais pour les Premières Nations, il n'est pas si simple d'expliquer à quel point ils sont importants et de préciser le contexte, en raison du grand nombre de légendes, d'images et de sculptures de l'épaulard.

Afin de protéger l'épaulard, il nous faut comprendre l’écosystème et tenir compte de tous les éléments du cycle, dan un parfait équilibre.

Les Autochtones possèdent des connaissances écologiques complexes. Leur perspective est holistique, tandis que la perspective adoptée en sciences est linéaire. Ces systèmes peuvent se compléter l'un l'autre, par exemple :

Les espèces en péril constituent une préoccupation d'une importance toute particulière pour les Premières Nations. La Loi sur les espèces en péril est compliquée, et il est difficile pour les Premières Nations d'y participer. Des occasions d'étudier les enjeux à grande échelle existent, y compris les répercussions sur les épaulards et l'état de l'environnement dans les bassins hydrographiques. Il est nécessaire de protéger les liens existants et de s'acquitter des obligations envers les générations futures en offrant des perspectives diverses.

Cette année, les séchoirs des fumoirs resteront vides pour la première fois de notre existence. Si nos congélateurs et nos séchoirs sont vides, nous savons que les épaulards auront faim tout comme nous. Les recommandations au Symposium sont notamment les suivantes :

Le retour du saumon et le rétablissement de l'épaulard sont possibles si le gouvernement du Canada met à profit les connaissances des Premières Nations. Les Premières Nations ont entendu de très belles paroles prononcées par le gouvernement au début du Symposium. Nous avons les paroles, il nous reste maintenant la tâche difficile d'écrire la musique afin d'obtenir une chanson que nous pouvons tous chanter. Nous voulons pouvoir chanter tous ensemble une chanson dans laquelle le saumon est abondant, les baleines sont heureuses et les palourdes sont propres.

APPEL À L'ACTION

L'honorable Marc Garneau, ministre des Transports

Messages clés

Ce Symposium a pour objectif de rassembler des personnes, de discuter des enjeux complexes, des mesures concrètes et des responsabilités partagées permettant de soutenir la protection et le rétablissement de l'épaulard résident du sud.

Dans le cadre du Plan de protection des océans, le gouvernement du Canada investit près de 20 millions de dollars pendant les cinq prochaines années pour cartographier les ports à trafic élevé et les zones côtières de la Colombie-Britannique. Ce nouvel investissement contribuera à assurer une navigation plus sûre dans les zones côtières de la Colombie-Britannique et à protéger les milieux marins pour l'épaulard résident du sud.

Avec le MPO, TC participe à plusieurs initiatives visant à mieux comprendre les répercussions du bruit sous-marin associé aux navires, et à mettre sur pied des stratégies permettant de réduire ses répercussions sur l'épaulard résident du sud. Nous avons déterminé d’éventuelles solutions et certaines d'entre elles sont mises à l'essai, notamment la réduction de la vitesse et le nettoyage des coques.

TC collabore avec la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) des États-Unis, l'État de Washington et l'Organisation maritime internationale, afin de partager les résultats de recherche et les pratiques exemplaires, et de cerner les occasions de prendre des mesures concertées. TC rencontre également régulièrement les intervenants du milieu maritime, les organismes non gouvernementaux et l'industrie du Canada, ainsi que ses partenaires américains, afin de déterminer les possibilités de mesures et de recherches conjointes. Il existe également de multiples exemples de recherches et de mesures déjà en cours.

« Le dialogue que nous amorçons aujourd'hui doit porter sur la marche à suivre à partir de maintenant. Je vous demande de faire preuve d'innovation; je vous demande de faire preuve d'un esprit constructif, d'être pragmatiques et honnêtes. Nous avons besoin d'un plan collectif adaptatif, capable d'intégrer les nouvelles données et les nouveaux renseignements dès qu'ils sont disponibles. Notre plan doit être collaboratif – personne ne peut s'acquitter de ce mandat seul. Notre plan doit mettre l'accent sur la marche à suivre ici et maintenant, mais également à plus long terme. »

L'honorable Marc Garneau, ministre des Transports

Jonathan Wilkinson, secrétaire parlementaire de la ministre de l'Environnement et du Changement climatique

Messages clés

La ministre de l'Environnement et du Changement climatique, tout comme l'ensemble du gouvernement du Canada, prend au sérieux la protection des espèces en voie de disparition. Nous croyons fermement qu'il est possible de mieux protéger les espèces en péril du Canada au moyen d'efforts concertés, incluant des approches multipartites, avec les partenaires et les intervenants.

Les contaminants peuvent provenir de sources diverses, telles que les rejets industriels, les sites contaminés ou les effluents d'eaux usées. Certains de ces contaminants peuvent également parcourir de longues distances, et c'est pourquoi il est important de prendre des mesures internationales. Pour traiter ces contaminants, le gouvernement du Canada participe activement à différents forums internationaux cherchant à encourager la réduction de la présence et de l'utilisation de ces contaminants à l'échelle mondiale. Dans le cadre du Plan de gestion des produits chimiques du gouvernement du Canada, le Canada évalue des milliers de substances et met en place des contrôles pour protéger la santé humaine et l'environnement.

Comme les effluents d'eaux usées contiennent des contaminants, le gouvernement du Canada a remis 400 000 dollars en 2017 au Réseau canadien de l'eau pour que celui-ci effectue l'examen technique des contaminants présents dans les eaux usées et des technologies d'assainissement possibles. Le gouvernement du Canada contribue en outre à hauteur de 170 millions de dollars à la modernisation de l'usine de traitement des eaux usées du District régional de la capitale de Victoria, et à hauteur de 212 millions de dollars pour les travaux d'amélioration de l'usine de traitement des eaux usées de Lions Gate (Vancouver).

« Pour réussir, nous avons tous besoin de voies à suivre fondées sur la science, réfléchies, innovantes et créatives, des voies qui nous permettront d'arriver au résultat désiré en matière de biodiversité, tout en restant sensibles aux préoccupations légitimes de tous les intervenants clés. »

Jonathan Wilkinson, secrétaire parlementaire de la ministre de l’Environnement et du Changement climatique

PRINCIPAUX RÉSULTATS ATTENDUS DU SYMPOSIUM : COMMENTAIRES FORMULÉS PAR LES EXPERTS ET LES DÉLÉGUÉS

1. La disponibilité des proies

Enjeu : L'épaulard résident du sud se nourrit exclusivement de poisson. L'été, l'épaulard se nourrit de manière sélective de saumon quinnat, alors que le saumon kéta fait partie de son régime alimentaire de septembre à novembre. On ne comprend toujours pas son régime hivernal. L'abondance des populations de saumon quinnat, leur densité et leur qualité sont en déclin. La mortalité de l'épaulard résident du sud est étroitement liée à l'abondance du saumon quinnat.

Recommandation générale :

Recommandations spécifiques :

2. Les contaminants et le réseau trophique

Enjeu : Les contaminants peuvent avoir des effets négatifs sur l’épaulard résident du sud lors d'une exposition aiguë ou chronique. Ils peuvent également avoir des effets sur leurs proies.

Recommandations générales :

Recommandations spécifiques :

3. Bruit et perturbations physiques

Enjeu : Les épaulards résidents du sud émettent des vocalisations pour communiquer et socialiser entre eux, trouver leur nourriture et s'orienter. Le bruit généré par les activités anthropiques, qu'il soit chronique (p. ex., bruit généré par les navires, exploitation de traversiers, observation des baleines, etc.) ou aigu (p. ex., battage de pieux, dynamitage, relevés sismiques, sonars militaires, etc.) peuvent interférer avec la capacité des baleines à accomplir ces processus biologiques essentiels. On estime que les niveaux de bruit sous-marin ambiant (en arrière-plan) ont augmenté en moyenne de 15 dB au cours des 50 dernières années dans les océans du monde (une augmentation de 3 dB représente des niveaux de bruit deux fois plus élevés).

Recommandations générales :

Recommandations spécifiques :

4. Mesures d'ensemble concernant les menaces

Enjeu : Jusqu'à présent, les menaces pesant sur l'épaulard résident du sud ont fait l'objet de discussions et d'une gestion en silos. Le Symposium a été mis sur pied pour rompre avec cette approche et cerner des occasions d'affronter ces multiples menaces de façon simultanée.

Lacunes actuelles et solutions potentielles :

MOT DE LA FIN

Terry Beech, secrétaire parlementaire du ministre des Pêches, des Océans et de la Garde côtière canadienne

Trevor Swerdfager, sous-ministre adjoint principal, Pêches et Océans Canada

Messages clés

Le gouvernement du Canada est fermement engagé envers le rétablissement et la protection de l'épaulard résident du sud et de toutes les baleines. L'esprit du Symposium et le désir affirmé de collaborer pour résoudre les problèmes en cause sont très appréciés. Les hautes instances du gouvernement du Canada en ont pris note, et nous sommes prêts à travailler main dans la main. Nous devons trouver comment continuer à nous coordonner, à collaborer et à partager pour permettre le rétablissement de la population d'épaulards résidents du sud. Nous souhaitons créer un milieu marin dont nous sommes fiers et dont nos arrière-arrière-petits-enfants pourront profiter.

« À titre d'intendants environnementaux actuels de nos océans, nous devons collectivement faire davantage pour protéger ces mammifères marins emblématiques et mettre un terme à leur déclin inquiétant avant qu'il ne soit trop tard. La bonne nouvelle est que nous nous attaquons à ce problème à une époque caractérisée par des investissements majeurs dans les sciences des océans, un flux de nouvelles technologies maritimes et un esprit authentique de collaboration. Quel que soit le secteur dans lequel vous œuvrez, vous figurez parmi les cerveaux les plus brillants de la communauté océanographique. Vous montrez également de manière tangible votre désir d'aider cette espèce en voie de disparition à surmonter les difficultés auxquelles elle fait face, afin que l'homme et les baleines puissent à nouveau vivre ensemble en harmonie. J'espère que vous conviendrez avec moi de la valeur de cette occasion qui nous a permis d'apprendre les uns des autres, de partager nos savoirs et d'avoir une influence sur les politiques publiques. J'ai hâte de collaborer avec vous tous dans les mois et les années à venir et de constater ce qui peut être accompli lorsque des personnes poursuivant les mêmes intérêts unissent leurs forces pour le bien commun. »

Terry Beech, secrétaire parlementaire du ministre des Pêches, des Océans et de la Garde côtière canadienne

ANNEXE : PROGRAMME DU SYMPOSIUM

Le 10 oct. 2017 Séance spécialisée 1 : Les contaminants et le réseau trophique
Président : Peter Ross, Ph. D., Aquarium de Vancouver
Séance spécialisée 2 : Le bruit et les perturbations
Présidente : Kate Moran, Ph. D., Ocean Networks Canada
Séance spécialisée 3 : Disponibilité des proies
Président : Brian Riddell, Ph. D., Fondation du saumon du Pacifique
Séance spécialisée 4 : Séance de dialogue intégratif
Présidente : Christianne Wilhelmson (Georgia Strait Alliance)
Le 11 oct. 2017 Mot d'ouverture et de bienvenue - Salish du littoral
Mot de bienvenue - Province de la Colombie-Britannique
L'honorable Lana Popham, ministre de l'Agriculture
Allocution à l'attention des participants au Symposium
L'honorable Dominic LeBlanc, ministre des Pêches, des Océans et de la Garde côtière canadienne
Considérations préliminaires au Symposium : Tour d'horizon du gouvernement du Canada
Natasha Rascanin (sous-ministre adjointe, Transports Canada)
Leçons apprises lors de la prise de mesures contre les trois principales menaces
Membre experte : Lynne Barre, coordonnatrice au rétablissement de l'épaulard résident du sud, National Oceanographic and Atmospheric Administration (NOAA) des États-Unis.
Membre expert : Orla Robinson, gestionnaire de programme, Programme ECHO (Enhancing Cetacean Habitat and Observation), Port de Vancouver
Membre expert : Andjela Knezevic-Stevanovic, Ph. D., région métropolitaine de Vancouver
Discours principal : Écologie des épaulards résidents du sud
John Ford (Ph.D., Université de la Colombie-Britannique)
Présentation des Premières Nations sur les liens entre les menaces
Membre expert : Teresa Ryan, Ph. D., Première Nation Tsimshian
Membre expert : Tim Kulchyski, Première Nation Cowichan
Membre expert : Carleen Thomas, Première Nation Tsleil-Waututh
Membre expert : Ray Harris, Première Nation Stz'uminus
Le 12 oct. 2017 Appel à l'action
L'honorable Marc Garneau, ministre des Transports
Jonathan Wilkinson, secrétaire parlementaire de la ministre de l'Environnement et du Changement climatique
Présentation des résultats des séances spécialisées
Voie à suivre
Membre du groupe de discussion : Serge Buy (Association de traversiers canadiens)
Membre du groupe de discussion : Christina Burridge (Seafood Alliance)
Membre du groupe de discussion : Robert Lewis-Manning (BC Chamber of Shipping)
Membre expert : John Ford, Ph. D., Université de la Colombie-Britannique
Membre expert : Lance Barrett-Lennard, Ph. D., Aquarium de Vancouver
Membre expert : Andrew Trites, Ph. D., Université de la Colombie-Britannique
Membre du jury : Dan Kukat, Pacific Whale Watch Association
Membre expert : Teresa Ryan, Ph. D., Première Nation Tsimshian
Résumé du Symposium et remerciements
Terry Beech, secrétaire parlementaire du ministre des Pêches, des Océans et de la Garde côtière canadienne
Trevor Swerdfager (sous-ministre adjoint principal, Pêches et Océans Canada)
Mot de clôture - Salish du littoral
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