Science
Prédation exercée par les phoques
- Mon Ministère s’assure de tenir compte des meilleures données scientifiques disponibles lorsqu’il prend des décisions afin de favoriser le maintien d’écosystèmes aquatiques sains et productifs.
- Au Canada atlantique et au Québec, mon Ministère a documenté l’incidence des phoques gris sur les stocks de poissons dans le sud du golfe du Saint-Laurent.
- En Colombie-Britannique, le MPO travaillent avec des partenaires et effectue des recherches scientifiques pour évaluer les répercussions de la prédation par les phoques communs et les lions de mer sur l’écosystème, incluant les espèces de saumon du Pacifique.
Contexte :
- Actuellement, le Ministère gère les récoltes commerciales de phoques gris et de phoques du Groenland dans la région de l’Atlantique. Il n’y a pas actuellement de pêche au phoques ou aux otaries dans la région du Pacifique.
- Sur les côtes est et ouest, l’industrie de la pêche s’inquiète des conséquences potentielles de la prédation exercée par les phoques et les lions de mer sur les stocks de poissons à valeur commerciale. D’importantes recherches scientifiques ont été menées au cours des dernières décennies sur les effets potentiels des phoques sur les stocks de poissons dans la région du Canada atlantique. Le Ministère a investi dans un nouveau programme de recherche sur la côte ouest et travaille avec des partenaires sur les impacts potentiels des phoques et des lions de mer sur les populations de poissons.
- Les données scientifiques obtenues jusqu’à maintenant semblent indiquer que les phoques gris ont un impact sur le rétablissement du stock de morue et d’autres poissons de fond dans le sud du golfe du Saint-Laurent. Toutefois, il n’y a pas de preuve évidente que les phoques du Groenland et les phoques et les lions de mer du Pacifique ont un impact mesurable sur l’un ou l’autre des stocks de poissons d’importance commerciale.
- Le Ministère s’appuiera sur les meilleures données scientifiques à sa disposition afin de prendre des décisions appropriées pour les politiques à venir.
Groupe de travail sur la science du phoque de l'Atlantique
- Plus tôt cette année, nous avons lancé le Groupe de travail scientifique sur les phoques de l’Atlantique afin de développer des recommandations sur les priorités en matière de science des phoques et sur la façon dont nous pouvons accroître les possibilités de collaboration avec les membres de l’industrie de la pêche.
- Les membres de l'équipe de travail comprend des personnes de l'industrie de la pêche et d'autres intervenants du Québec et des provinces de l'Atlantique et débute son travail dès maintenant.
- Le Groupe de travail a commencé à examiner l’état des connaissances scientifiques sur les phoques de l’Atlantique, particulièrement en ce qui concerne la prédation des phoques sur les stocks de poissons commerciaux au Canada atlantique et au Québec.
- Le Groupe de travail est une réponse directe aux préoccupations soulevées par les pêcheurs commerciaux de l’Est du Canada au sujet de l’impact de la prédation des phoques sur les stocks de poissons.
Contexte :
- L’équipe spéciale est coprésidée par Pêches et Océans Canada et par Glenn Blackwood du Fisheries and Marine Institute de l’Université Memorial. Les membres possèdent diverses compétences et une expérience variée dans le domaine des pêches. Les voici :
- Bill Taylor, Fédération du saumon atlantique
- Laura Ramsey, Association des pêcheurs de l’Î.-P.-É.
- Ginny Boudreau, Association des pêcheurs côtiers du comté de Guysborough
- Jamie Snook, Office Torngat mixte des pêches
- Kris Vascotto, Conseil du poisson de fond de l’Atlantique
- Robert Hardy, consultant en fruits de mer
- Jocelyn Thériault, Regroupement des pêcheurs professionnels des Îles-de-la-Madeleine
- L’équipe spéciale fournira des renseignements et des avis sur les priorités scientifiques du Ministère en ce qui concerne le phoque de l’Atlantique, sur la façon d’accroître la participation de l’industrie de la pêche aux projets scientifiques portant sur les phoques, et sur la manière dont le Ministère peut mieux transmettre l’information scientifique à l’industrie de la pêche.
La gestion durable des pêches canadiennes est importante pour les pêcheurs. Pêches et Océans Canada (le MPO) veille à ce que les meilleures données scientifiques disponibles soient prises en compte dans les décisions de gestion, notamment en ce qui concerne les effets de la prédation par les phoques.
- L’équipe spéciale se concentrera uniquement sur les activités et les programmes scientifiques concernant le phoque de l’Atlantique. L’équipe spéciale est distincte du Comité consultatif sur le phoque de l’Atlantique (CCPA) du MPO, qui sollicite des conseils pour le ministre du MPO sur les questions touchant la gestion des phoques, notamment les politiques en matière de délivrance de permis, les mesures de gestion, les allocations de quotas, et les enjeux relatifs à la conservation et à la conformité.
- Les membres du groupe de travail se sont réunis pour la première fois le 23 avril 2020 et trois sessions d’information sur l’état de la science des phoques ont eu pendant l’été et l’automne.
Évaluation du homard et bases pour la saison
- Le Ministère continue de surveiller et d’évaluer régulièrement les stocks de homard canadiens pour soutenir ses décisions de gestion. Le résultat de ces évaluations est publié sur le site Web du MPO.
- Nous renforçons également la surveillance scientifique du homard dans les quatre régions de l’Atlantique afin de mieux comprendre cette précieuse ressource.
- Les saisons de pêche au homard varient en fonction des zones. On accorde une grande importance à la conservation afin de réduire au minimum l’interaction de la pêche avec les étapes primordiales du cycle de vie, notamment la reproduction et la mue.
Contexte
Évaluation
- La pêche côtière du homard est une pêche assujettie au contrôle des intrants qui est gérée par des mesures visant à contrôler l’effort ainsi que la taille des prises et interdisant le débarquement de femelles gestantes. Le total autorisé des captures (TAC) n’a pas été fixé. La pêche hauturière du homard dans la zone de pêche au homard (ZPH) 41 est la seule qui est gérée selon un TAC, lequel a été établi en fonction des données sur les prises historiques.
- Dans la plupart des ZPH, le homard est principalement évalué à partir de données sur les débarquements et les prises issues des pêches. Des changements non rapportés dans le niveau d’effort pourraient accroître l’incertitude liée à l’évaluation. D’autres renseignements issus des pêches sont aussi utilisés lorsque possible, notamment les relevés au chalut, les relevés en plongée et les relevés du recrutement, lesquels assurent un suivi des jeunes homards avant qu’ils soient de taille suffisante pour être pris dans le cadre de la pêche.
- Dans la ZPH 34, les indices de biomasse issus des relevés au chalut sont utilisés comme indicateurs primaires pour évaluer l’état du stock. Des indicateurs secondaires, comme les débarquements, l’effort et les taux de captures commerciales, sont également utilisés pour obtenir des renseignements supplémentaires.
- L’information recueillie, son analyse et les conclusions qui en découlent font l’objet d’un processus scientifique d’examen par les pairs. Les avis scientifiques sur l’état des stocks qui en résultent orientent les décisions liées à la gestion des pêches.
- Le Ministère organise également de nouveaux relevés indépendants dans certaines ZPH grâce aux fonds du budget de 2019 destinés à la mise en œuvre des dispositions sur les stocks.
Caractère saisonnier de la pêche
- La saison de pêche au homard varie selon la zone, et ce, en partie pour réduire au minimum l’interaction de la pêche avec les étapes primordiales du cycle de vie, notamment l’éclosion, la mue, la ponte et la reproduction. Dans de nombreuses zones, les saisons de pêche sont établies de manière à éviter ces périodes critiques.
- La croissance du homard se fait par la mue, laquelle a eu de l’été au début de l’automne. Après la mue, le corps du homard est mou, puis sa carapace durcit au cours des semaines et des mois qui suivent. Une pêche survenant avant le durcissement complet de la carapace accroît le risque de blessure et de mortalité accidentelle. Dans la plupart des zones de pêche au homard, la saison de pêche se termine actuellement avant cette période où les homards sont plus vulnérables.
- Une augmentation de l’effort cumulatif ou des taux de mortalité en raison de la modification des saisons de pêche ou de la pêche hors saison pourrait poser des questions en matière de conservation selon le moment de la pêche, son ampleur et les caractéristiques de la ZPH.
Incidences des changements saisonniers aux dates de pêche sur les avis scientifiques
- Dans les régions où les avis scientifiques dépendent largement des renseignements issus des pêches, la modification des dates de pêche et des niveaux d’effort (p. ex. changements saisonniers, pêche hors saison) aurait des effets sur les avis, particulièrement sans journaux de bord ou autres moyens pour documenter les changements.
Abondance et répartition du homard
- Le homard se trouve dans tout l’Atlantique Nord-Ouest, de la côte de la Caroline du Nord jusqu’aux eaux de Terre-Neuve-et-Labrador.
- Le homard vit habituellement dans les eaux de moins de 50 mètres de profondeur, mais a été observé à des profondeurs supérieures à 500 mètres. Les plus grandes populations se trouvent dans le golfe du Maine et, au Canada, dans les eaux de la Nouvelle‑Écosse et le Sud du golfe du Saint‑Laurent.
- Au cours de la dernière décennie, l’abondance et la répartition du homard dans les eaux canadiennes semblent avoir profité des conditions environnementales et des mesures de gestion mises en place.
Contexte
- Le rôle du climat sur l’abondance et la répartition du homard sera vraisemblablement toujours aussi important dans les années à venir. Des baisses de production du homard ont été observées à l’extrémité sud de l’aire de répartition de l’espèce en Nouvelle-Angleterre, et ces diminutions ont été liées à l’augmentation de la température et aux maladies. Par contre, dans le Nord du golfe du Maine et le Canada atlantique, des augmentations de productivité du homard et un élargissement de son aire de répartition ont été observés dans la plupart des secteurs.
- Les limites de taille sont une mesure de conservation essentielle pour la pêche du homard. On sait que la taille à la maturité est liée aux conditions environnementales. En général, les homards des eaux plus chaudes sont plus petits. C’est l’une des raisons pour lesquelles la longueur minimale de la carapace varie d’une zone de pêche du homard à l’autre (p. ex. le fait d’augmenter la longueur minimale de la carapace permet à un nombre accru de homards de frayer avant de devenir vulnérables à la pêche).
Homard – Répercussions des efforts concertés
- Les stocks de homard du Canada atlantique sont en bonne santé. Dans toute la région des Maritimes, les stocks se trouvent dans la zone saine et de nombreux stocks se rapprochent des sommets historiques.
- Bien que subsiste une certaine incertitude quant aux répercussions (à long terme) que pourrait avoir une augmentation importante de l’effort sur les populations de homard, nous savons qu’un certain nombre de facteurs de risque doivent être pris en compte (notamment l’ampleur et le moment de toute récolte supplémentaire, la taille de la population et la superficie de l’habitat disponible pour le homard).
- D’autres travaux scientifiques doivent être menés pour évaluer l’incidence d’un effort supplémentaire et localisé sur la santé des populations de homards.
Contexte
- Les résultats des évaluations scientifiques les plus récentes indiquent que les stocks de homard de la région des Maritimes sont dans la zone saine. Les indicateurs d’abondance, lorsque disponibles, demeurent élevés par rapport aux niveaux historiques.
- Dans la région des Maritimes, l’évaluation des stocks de homard et les avis formulés concernent l’ensemble de la zone de pêche du homard (ZPH). Bien qu’il existe probablement des liens entre les différentes ZPH, celles-ci sont gérées séparément. Le MPO effectue cependant un relevé au chalut indépendant de la pêche dans la ZPH 34 et il est possible d’examiner les données recueillies par les stations dans certaines zones plus petites.
- Il existe un risque d’épuisement localisé si un grand effort ou un grand nombre de casiers sont concentrés dans une petite zone. Un épuisement localisé peut avoir des effets négatifs sur la productivité globale d’une ZPH caractérisée par une population de petite taille ou sur les ZPH où les zones d’habitat adapté au homard sont limitées.
- Les homards venant tout juste d’atteindre la taille appropriée pour la pêche représentent une grande partie des débarquements de homard effectués chaque année. En raison de la pression de pêche supplémentaire non déclarée, il peut falloir plusieurs années pour détecter toute répercussion sur la population de homards.
- Dans de nombreuses ZPH, y compris la ZPH 29, l’évaluation repose sur les renseignements relatifs aux prises commerciales des années précédentes. Par conséquent, les changements liés à la pêche, comme les changements relatifs à la saison ou les efforts et les débarquements non déclarés, peuvent avoir des répercussions sur notre capacité à faire le suivi des changements qui surviennent à l’égard des indices liés au homard. Cette situation peut accentuer l’incertitude entourant nos évaluations.
Changements climatiques
- Les Canadiens et Canadiennes savent que les changements climatiques sont réels et qu'ils posent de sérieux risques pour l'avenir des écosystèmes marins, des pêcheries et des communautés côtières du Canada.
- Nos scientifiques surveillent les océans du Canada et mènent des recherches sur la vulnérabilité des pêches et des écosystèmes aquatiques afin de fournir les meilleurs conseils possibles pour la prise de décisions.
- Mon ministère travaille également avec des partenaires canadiens et internationaux pour mieux comprendre comment les effets des changements climatiques, comme l'acidification des océans, peuvent affecter nos écosystèmes marins.
Contexte :
- Les écosystèmes marins du Canada subissent des changements importants dans leur structure et leur dynamique, qui sont liés à une série de facteurs, notamment les changements climatiques, la variabilité naturelle et d’autres pressions humaines.
- Les changements climatiques ont des répercussions sur les océans, leurs ressources, les écosystèmes et les infrastructures de plusieurs manières différentes :
- L’augmentation de la température des océans occasionne une diminution de l’oxygène dissous (la désoxygénation) et modifie la distribution des pêches, la santé et le calendrier des cycles de vie, par exemple la mue des homards;
- L’acidification des oceans (la diminution à long terme du pH des océans lorsque le dioxyde de carbone CO2 est absorbé de l'atmosphère) réduit la disponibilité du carbonate de calcium, ce qui rend plus difficile la croissance des carapaces pour plusieurs organismes marins.
- L’élévation du niveau de la mer et l’augmentation de la fréquence et de la gravité des ondes de tempête endommagent les côtes et les infrastructures côtières, et portent atteinte aux écosystèmes côtiers.
- Souvent, l’hypoxie et l’acidification de l’océan se produisent simultanément, en raison du réchauffement de l’eau et de l’apport de nutriments de source terrestre. L’action de différents facteurs de stress peut intensifier les répercussions sur les organismes et les écosystèmes aquatiques.
Acidification et faible teneur en oxygène des océans
- Les Canadiens savent que le changement climatique est réel et qu’il entraîne la modification de la chimie des océans.
- Des niveaux accrus de dioxyde de carbone provenant des activités humaines sont absorbés par les océans, ce qui cause une acidification qui menace les écosystèmes marins.
- L’élévation de la température de l’eau, combinée à l’apport en nutriments associé aux activités humaines, réduit la quantité d’oxygène dans certains secteurs, ce qui peut se répercuter sur le milieu biologique marin et les collectivités côtières.
- Les scientifiques collaborent avec nos partenaires canadiens et internationaux pour étudier les éléments moteurs de l’acidification des océans et de l’hypoxie ainsi que leurs répercussions sur les pêches et les écosystèmes aquatiques
Contexte :
- L’acidification des océans est le terme utilisé pour décrire le changement à long terme de la chimie des océans lorsque le CO2 est absorbé à partir de l’atmosphère. Depuis 1960, environ un tiers de toutes les émissions de dioxyde de carbone attribuables aux combustibles fossiles se sont retrouvées dans l’océan. Le dioxyde de carbone atmosphérique, lorsqu’il est absorbé par l’océan, modifie la chimie de l’eau en formant de l’acide carbonique, ce qui rend l’océan plus acide et réduit la disponibilité du carbonate de calcium. Cette réduction peut entraver la croissance des coquilles de plusieurs organismes marins.
- Selon les prévisions, d’ici à 2100, les océans du monde entier seront probablement impropres à la vie de nombreuses espèces situées au bas de la chaîne alimentaire, notamment aux coraux des grands fonds et à certains organismes exploités commercialement, dont les espèces de mollusques et de crustacés des eaux canadiennes. Lorsque les organismes responsables de la formation des coquilles sont en danger, l’ensemble de la chaîne alimentaire peut également être menacé en raison du manque de disponibilité alimentaire, ce qui peut entraîner des changements plus importants dans l’écosystème.
- Combiné aux changements climatiques, l’accroissement de la charge en éléments nutritifs d’origine anthropique modifie la biogéochimie des océans et augmente la consommation d’oxygène, ce qui entraîne la diminution ou l’épuisement de l’oxygène dissous dans certaines zones aquatiques. Dans un contexte d’environnement marin et d’eau douce, le terme « hypoxie » désigne la situation dans laquelle la concentration d’oxygène dissous devient trop faible pour assurer la survie de la plupart des organismes aquatiques d’un plan d’eau.
- La plupart du temps, l’hypoxie est le résultat de facteurs anthropiques, en particulier la pollution par les nutriments (ou eutrophisation) causée par le lessivage des terres cultivées, la combustion de combustibles fossiles et les effluents de traitement des eaux usées.
- Des eaux océaniques plus chaudes retiennent moins d’oxygène dissous. Combiné à d’autres facteurs de stress associés aux changements climatiques, ce phénomène vient amplifier l’occurrence et les effets de l’hypoxie.
- Souvent, l’hypoxie et l’acidification de l’océan se produisent simultanément, en raison du réchauffement de l’eau et de l’apport de nutriments de source terrestre. L’action de différents facteurs de stress peut intensifier les répercussions sur les organismes et les écosystèmes aquatiques.
- Pêches et Océans Canada prend des mesures pour comprendre l’état et l’ampleur du processus d’acidification des océans et de l’hypoxie et les répercussions de ces changements sur les écosystèmes aquatiques et les pêches commerciales, au moyen d’une surveillance océanographique régulière, de recherches ciblées et de la mise en œuvre du Programme des services d’adaptation aux changements climatiques en milieu aquatique.
Les sciences au MPO
- Plus de 2 000 employés scientifiques du MPO font des recherches et surveillent nos océans et nos écosystèmes aquatiques à travers le pays. Plus de 90 % des employés scientifiques du MPO travaillent à l’extérieur d’Ottawa.
- Dans le contexte de la promotion des femmes dans les professions liées aux sciences, technologies, ingénierie et mathématiques, près de 50 % des employés scientifiques sont des femmes.
- Les Sciences du MPO appuient la collaboration scientifique sur les océans et l'eau douce au Canada, avec plus de 30 millions de dollars investis annuellement dans plus de 300 projets de recherche externes dirigés par des universités canadiennes, des organisations non gouvernementales et autochtones, des provinces et territoires, et le secteur privé.
- Entre 2016 et 2021, ce gouvernement aura investi plus de 500 millions de dollars dans les sciences marines et d’eau douce.
Contexte :
- Le Secteur national des sciences des écosystèmes et des océans (SEO) emploie des scientifiques experts, des biologistes, des techniciens, des hydrographes et des personnes évoluant dans d’autres domaines scientifiques. Plus de 90 % de l’effectif (2007 sur 2219 employés) est réparti dans les six régions opérationnelles du MPO.
- Le Secteur SEO a cinq fonctions principales qui soutiennent et permettent la réalisation du mandat du MPO : avis scientifiques, recherche, surveillance, gestion des données et de l’information, et produits et services (par exemple, cartes, cartes nautiques).
- Depuis 2016, le Secteur des sciences du MPO a bénéficié de nouveaux investissements dans des domaines tels que la recherche sur les océans et les eaux douces, la science a l’appui du Plan de protection des océans, la lutte contre la menace des espèces aquatiques envahissantes, le changement climatique, la protection des baleines, le renouvellement de la Loi sur les pêches, les objectifs de conservation marine, et des qui renforcent la capacité scientifique externe dans ces domaines et dans d'autres domaines pertinents pour le Ministère.
- Date de modification :