Livre 2, onglet A1 - Profils régionaux
Sur cette page
- MPO : Régions Administratives
- MPO – Région de Terre-Neuve-et-Labrador (T.-N.-L.)
- MPO – Région des Maritimes
- MPO – Région du Golfe
- MPO – Région du Québec (QC)
- MPO – Région de l’Ontario et des Prairies
- MPO – Région de l’Arctique
- MPO – Région du Pacifique
- Garde côtière – Région de l’Atlantique
- Garde côtière – Région du Centre
- Garde côtière – Région de l’Ouest
- Garde côtière – Région de l’Arctique
MPO : Régions Administratives
MPO – Région de Terre-Neuve-et-Labrador (T.-N.-L.)
Administration centrale régionale et installations de laboratoire
- St. John’s (Terre-Neuve-et-Labrador)
Trois bureaux de secteur
- Grand Falls-Windsor
- Corner Brook
- Happy Valley-Goose Bay
24 détachements et bureaux satellites de Conservation et Protection (C et P)
Principales priorités :
- Élaborer des plans de rétablissement pour soutenir des pêches durables et commercialement viables (les trois stocks de cabillaud) et mise en œuvre du cadre pour une pêche durable (capelan)
- Faire progresser les objectifs de conservation marine et la planification spatiale marine
- Mise en oeuvre de la réconciliation et des droits
- Minimiser l'impact des difficultés liées à la collecte de données scientifiques sur la prise de décision
La région compte 702 employés et dispose d’un budget de fonctionnement de 189,6 M$ (actuel 2022/23 tous les votes). Les responsabilités comprennent une partie du golfe du Saint-Laurent et trois frontières internationales : une zone réglementée par l’Organisation des pêches de l’Atlantique Nord-Ouest (OPANO), Saint-Pierre et Miquelon (France) et le Groenland.
- La province de T.-N.-L. possède 29 000 km de côtes et ~18 pour cent de la superficie totale des océans du Canada
- Trois zones de protection marines et 11 refuges marins pour atteindre les objectifs de conservation marine
- 317 ports pour petits bateaux et environ 4 000 bateaux de pêche actifs
- Environ 17 500 personnes employées par les secteurs de la pêche et de l’aquaculture
- La valeur totale des débarquements de la pêche commerciale était de 1,3 M$ en 2022; elle devrait être inférieure en 2023
- Les principales espèces commerciales sont le crabe des neiges, la crevette et le homard
- La valeur totale de l’aquaculture en 2022 était de 127 M$
MPO – Région des Maritimes
AC régionale
- Dartmouth (Nouvelle-Écosse)
Trois bureaux de secteur
- Sydney (Nouvelle-Écosse)
- Yarmouth (Nouvelle-Écosse)
- St. George (Nouveau-Brunswick)
Deux instituts de recherche
- Institut océanographique de Bedford
- Station biologique de St. Andrews
+ 19 sites de C et P, 2 centres de biodiversité
Principales priorités :
- Mise en oeuvre de la réconciliation et des droits
- Conservation, protection et rétablissement des espèces (civelle, hareng, maquereau, saumon atlantique, baleines noires de l’Atlantique Nord)
- Des eaux douces et des océans sains (p. ex. objectifs de conservation marine, protection de l'habitat, engins fantômes)
- Économie océanique
La région compte environ 1 048 employés et dispose d’un budget de fonctionnement de 97,58 M$. Elle représente 37 pour cent de la valeur totale au débarquement des pêches commerciales du Canada. Plus de 70 espèces récoltées (2021).
- 8 600 kilomètres de côtes, de la pointe du Cap-Breton à la frontière entre le Canada (NB) et les États-Unis
- 3 ZPM : Le Gully, l’estuaire de la Musquash et le banc de Sainte-Anne
- + 2 sites d’intérêt (SI) et un réseau biorégional avancé de conservation
- 172 ports pour petits bateaux et ~3 000 bateaux commerciaux actifs
- Environ 12 500 pêcheurs et une valeur totale au débarquement de ~1,6 G$ (2022, préliminaire)
- Trois principales espèces (2022p) homard (860 M$); coquille Saint-Jacques (228 M$); crabe des neiges (145 M$)
- Valeur totale de la production de l’aquaculture de poissons (2021) : 310 M$*
- Valeur totale pour la N.-É. et le N.-B. combinés
MPO – Région du Golfe
AC régionale
- Moncton (Nouveau-Brunswick)
Trois bureaux de secteur
- Tracadie (Nouveau-Brunswick)
- Antigonish (Nouvelle-Écosse)
- Charlottetown (Île-du-Prince-Édouard)
Trois installations de recherche
- Centre d’entreprise des sciences de l’Atlantique
- Laboratoire national pour la santé des animaux aquatiques
- Unité de bioconfinement du Golfe
+ 8 détachements de C et P et 11 sous-détachements
Principales priorités :
- Protection des baleines noires de l’Atlantique Nord (BNAN) en voie de disparition tout en garantissant une pêche durable
- Faire avancer les négociations et le dialogue avec les communautés autochtones afin d’améliorer l’accès aux pêches
- Conservation et rétablissement du saumon sauvage de l’Atlantique et recherche scientifique de pointe dans le cadre du projet conjoint de recherche sur le saumon de l’Atlantique
- Reconstruire les ports pour petits bateaux et récupérer les engins de pêche perdus après l’ouragan Fiona
La région compte 555 employés et dispose d’un budget de fonctionnement d’approximativement 74 M$. On y trouve l’une des aires marines les plus productives du pays avec 25 espèces pêchées à des fins commerciales.
- 7 000 km de côtes, y compris les eaux adjacentes à la côte est du Nouveau-Brunswick, à la côte du détroit de Northumberland en Nouvelle-Écosse, à l’ouest de l’île du Cap-Breton et à l’Île-du-Prince-Édouard
- 114 ports pour petits bateaux et environ 3 877 bateaux de pêche immatriculés
- 1 ZPM : Basin Head
- Environ 11 959 pêcheurs et une valeur totale au débarquement de 1,1 G$ (2021p)
- Principales espèces : homard (724 M$) ; crabe des neiges (315 M$) en 2021p
- Valeur totale de la production conchylicole à l’Î.-P.-É. (2021p) : 54,7 M$. La Région du Golfe est la région prédominante pour la production conchylicole dans les provinces maritimes. La conchyliculture à l'Î.-P.-É. représente 57 pour cent en volume de la production nationale en 2021p
MPO – Région du Québec (QC)
AC régionale
Québec (QC)
Trois bureaux de secteur
- Sept-Îles
- Gaspé
- Cap-aux-Meules
+ 5 bureaux de district sur la Côte-Nord et en Gaspésie
1 institut de recherche
- Institut Maurice-Lamontagne
Principales priorités :
- Faire avancer la réconciliation avec les Autochtones par des consultations, la négociation et la mise en œuvre d’ententes de réconciliation fondées sur les droits, et le développement collaboratif
- Réviser l’approche de précaution de la crevette de l’estuaire et du golfe du Saint-Laurent, analyser son impact sur l’industrie, et collaborer avec d’autres ministères pour identifier des solutions pour aider le secteur à traverser la crise
- Mettre en œuvre les zones de protection marines en partenariat avec le gouvernement du Québec
- Atténuer les impacts potentiels sur les mammifères marins et l’accès au marché grâce à l’initiative relative aux engins fantômes et à la mise en œuvre de mesures de protection des baleines noires de l’Atlantique Nord (BNAN) menacées d’extinction
La région compte 690 employés et dispose d’un budget de fonctionnement de 105 M$.
Elle gère le Fonds des pêches du Québec.
- Province du Québec et une vaste partie du golfe du Saint-Laurent
- 91 ports pour petits bateaux, dont 30 regroupent 90 pour cent de la valeur total des débarquements de la région
- 1 ZPM : Banc-des-Américains
- Environ 1 000 pêcheurs et une valeur totale au débarquement de 463 M$ (2022)
- 3 principales espèces : homard (211 M$), crabe des neiges (196 M$), crevette (26 M$)
- Valeur totale de la production de l’aquaculture (2019) : 12,3 M$
MPO – Région de l’Ontario et des Prairies
Bureaux régionaux
- Sarnia (Ontario)
- Burlington (Ontario)
- Winnipeg (Manitoba)
Bureaux locaux
- Edmonton, Regina, Sault Ste. Marie
Trois instituts de recherche
- Institut des eaux douces
- Centre canadien des eaux intérieures
- Centre de foresterie des Grands Lacs
Principales priorités :
- Protection de la biodiversité des eaux douces, des poissons et de leur habitat
- Soutenir la Stratégie canadienne sur les minéraux critiques
- Renforcer la collaboration fédérale, provinciale et autochtone pour protéger la santé des écosystèmes
- Élargir le rôle dans la science des eaux douces et transfrontalières dans le cadre des accords Canada-Ontario et de l’Accord relatif à la qualité de l’eau dans les Grands Lacs
- Fournir des services à la région de l’Arctique
La région compte 679 employés, répartis dans quatre provinces et dans le nord, avec un budget de fonctionnement de 131,5 M$. Il met l’accent sur la protection de la biodiversité aquatique dans le sud.
- 20 % de l’eau douce du monde se trouvent dans les Grands Lacs
- 63 % du PIB du Canada
- 57 % de la population
- 63 pour cent des Premières Nations et
- 65 pour cent des populations métisses au Canada
- 155 ports pour petits bateaux, soutenant des pêches commerciales, récréatives et autochtones
- 46 % du total* des dossiers de protection du poisson et de l’habitat du poisson du MPO; nombreux projets majeurs (p. ex. nouveaux projets nucléaires, cercle de feu, sables bitumineux, forêts de l'Alberta, etc.); 55 espèces figurant sur la liste de la LEP; prévention/contrôle des EAE
- Valeur totale de la production de l’aquaculture (estimation actuelle) : 58 M$
- Dépenses directes attribuables à la pêche récréative (2015) : plus de 1,4 G$
- Valeur totale au débarquement de la pêche commerciale (2021) : 69 M$ (Grands Lacs : 40 M$; OCPED : ~29 M$)
* Soumissions au PPPH pour l’exercice 2020-2021 : 2 379 sur 5 125 au niveau national
MPO – Région de l’Arctique
AC régionale
- Rankin Inlet (Nunavut)
Autres bureaux
- Iqaluit (Nunavut)
- Yellowknife (Territoires du Nord-Ouest)
- Hay River (Territoires du Nord-Ouest)
- Inuvik (Territoires du Nord-Ouest)
- La région comprend le versant nord du Yukon, les Territoires du Nord-Ouest, le Nunavut, le Nunavik, le Nunatsiavut, la baie d’Hudson et la baie James
Principales priorités :
- Mise en place de cadres de gouvernance avec les partenaires du Nord
- Soutien à la politique Inuit Nunangat
- Stratégie conjointe de recrutement et de maintien en poste du MPO et de la GCC
- Transition de programmes supplémentaires vers la région arctique
- Élaboration conjointe des règlements de pêche du Nunavut
- Conservation marine
- Aménagement du territoire, y compris l'approbation du plan d'aménagement du territoire du Nunavut par le gouvernement du Canada (plan publié en juin 2023)
La région compte 87 employés et dispose d’un budget de fonctionnement de 31,3 M$ – tous deux devant plus que doubler dans les années à venir*. Employés dans les Territoires du Nord-Ouest, au Nunavut et dans le sud. Forte pression pour obtenir des bureaux supplémentaires au Nunavik et au Nunatsiavut.
- ~ 175 000 km de côtes
- La création de la région fait avancer la réconciliation
- Cogestion dans le cadre de revendications territoriales
- 3 ZPM :
- Anguniaqvia niqiqyuam
- Tarium Niryutait
- Tuvaijuittuq
- 4 ports pour petits bateaux
- Le PPB de Clyde River en cours de construction
- Discussion en cours sur le PPB d'Arctic Bay
- Valeur totale au débarquement de la pêche commerciale (2022) : ~214 M$
- Principales espèces : flétan noir et crevette (2022) : valeur combinée de 214 M$
- La pêche de subsistance est culturellement et économiquement importante
- Espèces : omble chevalier; phoque; morse; béluga; narval; tête de noeud.
MPO – Région du Pacifique
AC régionale
- Vancouver (Colombie-Britannique)
Quatre bureaux de secteur
- Côte Sud
- Fleuve Fraser et Fraser intérieur
- Côte Nord
- Yukon et secteur transfrontalier
Trois instituts de recherche
- Institut des sciences de la mer
- Station biologique du Pacifique
- Laboratoire du lac Cultus pour la recherche sur le saumon
Principales priorités :
- Endiguer le déclin du saumon du Pacifique grâce à l’initiative de la Stratégie pour le saumon du Pacifique
- Faire avancer la réconciliation avec les Autochtones grâce à des consultations, à la négociation de traités et à l’élaboration concertée
- Élaboration d'un plan de transition pour l'aquaculture des poissons
- Travailler avec la Colombie-Britannique et les Premières nations pour la mise en oeuvre du réseau d'aires marines protégées pour la biorégion du plateau continental nord
La région compte 2 300 employés, un budget de fonctionnement de 290 M$, un budget d’investissement de 65 M$ et un budget de subventions et contributions de 180 M$. Elle gère le Fonds de restauration et d’innovation pour le saumon de Colombie-Britannique et le Programme de mise en valeur des salmonidés.
- 27 000 km de côtes + 105 réseaux hydrographiques (de la plaine Old Crow au Yukon à la pointe sud de l’île de Vancouver)
- 101 ports pour petits bateaux
- 3 ZPM : cheminées hydrothermales Endeavour, mont sous-marin Bowie (SG̲áan K̲ínghlas) et détroit d’Hécate
- Environ 4 577 pêcheurs commerciaux et une valeur totale au débarquement de 395* M$ (2020)
- Principales espèces sauvages (2022) flétan (62 M$) ; crabe (55 M$) ; crevette (47 M$) ; panope (33 M$)
- Valeur à la ferme de la production de l’aquaculture (2022) : 912 M$ (96 % provenant du saumon de l’Atlantique)
- Le secteur de la pêche récréative (y compris la pêche à marée et en eau douce) a généré plus de 1 G$ de revenus totaux en 2015. Des informations récentes indiquent que la pêche à marée et la pêche récréative ont généré à elles seules environ 658 M$ de revenus totaux en 2022
Garde côtière – Région de l’Atlantique
Bureau régional
- St. John’s (Terre-Neuve-et-Labrador)
La région comprend le Nouveau-Brunswick, la Nouvelle-Écosse, l’Île-du-Prince-Édouard et Terre-Neuve-et-Labrador, et une zone de recherche et sauvetage (R et S) qui s’étend sur la moitié de l’Atlantique.
Principales priorités :
- Continuer à soutenir l’élaboration et la mise en œuvre d’initiatives gouvernementales clés telles que la stratégie de l’économie bleue et le Plan de protection des océans
- Continuer à nouer et à renforcer les relations et les partenariats avec les gouvernements, les communautés et les organisations autochtones
- Continuer à créer et à maintenir en poste une main-d’œuvre qualifiée, diversifiée et inclusive tout en s’efforçant de maintenir un milieu de travail sain
La région compte 2 207 employés et dispose d’un budget de fonctionnement de 275 M$.
Actifs régionaux :
- 22 grands navires
- 6 petits navires
- 18 bateaux de R et S
- 8 hélicoptères
- 2 bases opérationnelles
- 2 centres de services intégrés
- 16 stations de R et S
- 9 stations saisonnières de petites embarcations de sauvetage côtières
- 5 centres des Services de communications et de trafic maritimes (SCTM)
- 5 dépôts d'intervention environnementale (IE) dotés de personnel
- 1 597 aides fixes
- 5 245 aides flottantes
- 24 phares gardés
Garde côtière canadienne – Région du Centre
Bureau régional
- Montréal (Québec)
- La région couvre actuellement les cinq Grands Lacs et leurs voies interlacustres, ainsi que le fleuve Saint-Laurent jusqu’au golfe du Saint-Laurent
Principales priorités :
- Faire avancer la réconciliation et mettre en œuvre la stratégie nationale du MPO
- Recrutement, maintien en poste et formation
- Renforcer le rôle du Centre des opérations régionales
- Mettre en œuvre le concept des opérations de la Garde côtière
- Créer un environnement qui favorise le bilinguisme
Source : Plan quinquennal de la région centrale
La région compte environ 1,626 employés et dispose d’un budget de fonctionnement de 217 M$.
Actifs régionaux :
- 9 grands navires
- 12 petits navires
- 19 bateaux de R et S
- 7 hélicoptères
- 2 aéroglisseurs
- 10 bases opérationnelles
- 14 stations de recherche et de sauvetage
- 15 stations de bateaux de sauvetage
- 12 stations de sauvetage côtier
- 4 bases et dépôts d'intervention environnementale
- 4 centres des SCTM
- 4 641 aides flottantes
- 2 300 aides fixes
Garde côtière – Région de l’Ouest
Bureau régional
- Victoria (Colombie-Britannique)
- La région couvre toute la côte de la Colombie-Britannique, y compris le lac Winnipeg au Manitoba. La région continue de soutenir les opérations sur le fleuve Mackenzie avec la région de l’Arctique
Principales priorités :
- Établir des partenariats autochtones avec plus de 60 Premières Nations de la côte
- Amélioration de la connaissance générale de la situation dans le secteur maritime
La région compte 1 370 employés et dispose d’un budget de fonctionnement de 152 M. La région compte 53 pour cent de tous les services de communications et de trafic maritimes (SCTM) au Canada et une moyenne annuelle de 3 500 cas de R et S, 1 200 cas de pollution, et 350 cas de navires préoccupants examinés l’an dernier.
Actifs régionaux :
- 6 grands navires
- 16 petits navires
- 18 navires de R et S
- 7 hélicoptères
- 2 aéroglisseurs
- 2 navires de remorquage d'urgence
- 7 bases opérationnelles
- 15 stations de R et S (2 autres en cours de construction)
- 4 stations de petites embarcations de sauvetage côtières
- 2 centres des SCTM
- 5 dépôts d’intervention environnementale
- 3 856 aides à la navigation
- 27 phares gardés
Garde côtière – Région de l’Arctique
Bureau régional
- Yellowknife (Territoires du Nord-Ouest)
- La région comprend les quatre régions de l'Inuit Nunangat (Inuvialuit, Nunavut, Nunavik, Nunatsiavut), le versant nord du Yukon, les Territoires du Nord-Ouest, la baie d'Hudson et la baie James. Des opérations saisonnières sont assurées sur le fleuve Mackenzie, dans les Territoires du Nord-Ouest
- Entièrement responsable de la prestation de tous les programmes et services de la GCC à l'intérieur des limites de la région de l'Arctique à compter d'avril 2021
Principales priorités :
- Améliorer l'état de préparation opérationnelle et la sécurité maritime dans l'Arctique en collaboration avec les gouvernements et les organisations inuits, des Premières nations et des Métis
- Mettre en œuvre des activités conjointes avec le MPO Arctique :
- Accroître la représentativité de la main-d'œuvre en élaborant une stratégie de recrutement et de maintien en poste dans le Nord
- Faire progresser la réconciliation grâce à l'établissement de cadres de gouvernance régionaux
- Mettre en place les coordonnateurs de l'engagement communautaire de la phase 2
- Mettre en œuvre le plan de protection des océans 2
- Publier la stratégie pour l'Arctique
Les limites géographiques de la région de l’Arctique ont été annoncées le 5 mars 2021, ce qui en fait la première région du gouvernement du Canada à englober l'ensemble de l'Inuit Nunangat. La région compte 138 employés et dispose d’un budget de fonctionnement de 24,6 M$. L’augmentation des capacités et des possibilités d’emploi dans la région reste une priorité essentielle.
Actifs disponibles :
- 7-9 brise-glaces
- 2 bouées saisonnières
- 6 navires d’intervention environnementale
- Jusqu’à 8 hélicoptères
- 1 base opérationnelle
- 1 station de petites embarcations de sauvetage côtières
- 1 centre saisonnier des SCTM
- 2 dépôts d’équipement d’intervention environnementale doté en personnel et 2 non doté
- 20 dépôts de matériel d’intervention environnementale
- 1 équipement d’intervention rapide transportable par avion
- Plus de 2 000 aides
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