Rapport sur les évasions de poissons d’élevage, 2014
Les données sur les évasions sont recueillies par :
- le Nouveau-Brunswick (N.-B.)
- la Nouvelle-Écosse (N.-É.)
- Terre-Neuve-et-Labrador (T.-N.-L.)
- Pêches et Océans Canada en vertu du Règlement du Pacifique sur l’aquaculture en Colombie-Britannique (C.-B.)
Il n’y a pas de parcs en filet marins au Québec (QC), ni à l’Île-du-Prince-Édouard (Î.-P.-É.).
Il s’agit de la meilleure estimation possible. Le nombre exact est difficile à obtenir et ne peut parfois être effectuée seulement lors de la récolte des poissons.
La taille moyenne est basée sur les codes de confinement. Elle est une mesure plus précise que l’étape du cycle de vie du poisson.
Les résultats réfèrent à l’utilisation de méthodes de récupération tel qu’indiqué dans le code correspondant de confinement et résume les résultats de la tentative de récupération.
L’information concernant les dates des évasions a commencé à être recueillie en 2013 dans les Provinces de l’Atlantique, mais a commencé en 2011 en Colombie-Britannique.
Espèce | Nombre | Taille moyenne des poissons | Emplacement | Résultat | Cause des évasions | Date de l’évasion |
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Truite arc-en-ciel | Estimation incertaine* | 400 g | Port Mouton, N.-É. | Aucune tentative de recapture | Des conditions météorologiques extrêmes ont submergé les cages et les ont fait s’effondrer Gros trous observés dans les filets |
26 mars 2014 |
Truite arc-en-ciel | 13 687 | 464 g | Pointe Brettell, C.-B. | Aucune tentative de recapture | Un enclos que l’on déplaçait aurait été endommagé par l’hélice du bateau, créant une grande brèche que l’on n’a découverte qu’une fois le transport terminé, au bout de 2 heures | 14 mai 2014 |
*Les entreprises ont indiqué que la demande de nourriture pré- et post-incident était sensiblement la même, amenant à croire que les pertes n’étaient pas significative.
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