Perturbations physiques et acoustiques (y compris les collisions avec des navires et le bruit marin)
Emplacement
- Eaux de l'océan Pacifique depuis la frontière avec les États-Unis au nord (Alaska) jusqu'à la frontière avec les États-Unis au sud (Washington) – La menace de perturbation physique et acoustique résultant des activités humaines visant les espèces marines en péril, y compris la navigation, le transport maritime et les activités récréatives, concerne l'ensemble de l'océan Pacifique, mais elle est surtout associée aux zones où l'activité industrielle et le trafic maritime commercial et récréatif sont plus élevés.
- Océan Atlantique, y compris le golfe du Saint-Laurent et l'estuaire – La menace de perturbation physique et acoustique visant les espèces marines en péril concerne l'ensemble de l'océan Pacifique, partout dans l'océan Atlantique, mais elle est surtout associée aux zones où l'activité industrielle et la circulation commerciale et récréative sont plus élevées.
- L'océan Arctique canadien, y compris la partie sud de la mer de Beaufort et la baie de Baffin, le détroit de Davis, le détroit d'Hudson et la partie nord de la baie d'Hudson, y compris le bassin Foxe - La menace de perturbation physique et acoustique des espèces marines en péril due à l'augmentation des activités de transport maritime et de tourisme existe dans tout l'Arctique où l'on trouve des espèces aquatiques en péril. La plus grande menace de perturbation acoustique existe dans le détroit de Davis et la baie de Baffin où se déroulent la majorité des activités de navigation commerciale (p. ex. pêche commerciale, tourisme, transport).
Menaces principales
- Les perturbations physiques et acoustiques comprennent les perturbations causées par les bruits sous-marins émis par les navires commerciaux et de plaisance et les activités industrielles (p. ex. dragage, forage et construction) ainsi que par la présence des navires.
- Le déplacement des mammifères marins en raison de perturbations physiques et acousti ques peut avoir des répercussions à la fois sur la santé des individus et celle de la population. Par exemple, de nombreux mammifères marins utilisent des aires d'alimentation, des échoueries, des plages où ils se frottent aux rochers ou des aires de mise bas précises et peuvent être déplacés en raison de perturbations répétées par le bruit et les vagues générés par les grands navires.
- La façon dont les perturbations physiques et acoustiques peuvent nuire aux espèces aquatiques en péril au niveau individuel et au niveau de la population n'est pas bien comprise, mais elle peut dépendre du caractère chronique de la perturbation (comme le trafic maritime commercial ou de plaisance, y compris les bateaux d'observation des baleines) ou perçant/immédiat (comme en cas de collisions de navires).
Espèces aquatiques en péril inscrites à l'annexe 1 de la LEP affectés par cette menace
Places prioritaires et menaces marines | Espèces, population | Statue de la LEP |
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En savoir plus sur les projets visant à lutter contre cette menace
Plateforme interactive en ligne sur les aires marines spéciales de Terre-Neuve-et-Labrador
Plateforme interactive en ligne sur les aires marines spéciales de Terre-Neuve-et-Labrador
Bénéficiaire : Société pour la nature et les parcs du Canada, section de Terre-Neuve-et-Labrador
Objectif du projet : Ce projet de trois ans s’appuie sur deux éditions du guide « Special Marine Areas in Newfoundland and Labrador » produit par la Société pour la nature et les parcs du Canada, section de Terre-Neuve-et-Labrador. En exploitant la mine de connaissances figurant dans ce guide, des sources externes, un atelier et des recherches en cours, la Société pour la nature et les parcs du Canada, section de Terre-Neuve-et-Labrador, crée une « carte interactive en ligne des aires marines spéciales de Terre-Neuve-et-Labrador » (carte interactive des AMS). La carte interactive des AMS met en évidence les écorégions de la province (ainsi que les 140 aires spéciales présentées dans le guide), les espèces de chaque région (en mettant l’accent sur les espèces en péril), les menaces (en se concentrant sur les interactions entre les pêches, les perturbations physiques et acoustiques et le transport maritime), les protections actuellement en place, les menaces liées aux changements climatiques (p. ex. l’élévation du niveau de la mer) et d’autres caractéristiques qui aident à dresser un tableau global de l’écosystème.
La carte interactive des AMS vise à devenir un outil efficace et convivial de sensibilisation, d’éducation et de prise de décision pour toute une série d’utilisateurs, notamment : 1) les gouvernements national, provinciaux et municipaux; 2) les universités et les chercheurs; 3) les industries maritimes; 4) le grand public. En outre, cette carte se veut un outil utile pour les organisations qui mènent des initiatives de planification spatiale marine pour Terre‑Neuve‑et‑Labrador et offrira des possibilités de sensibilisation et d’éducation à tous les utilisateurs.
Fonds alloués : 219 920 $
Échéancier : 3 ans
Espèces qui bénéficient de ce projet:
- Baleine noire de l’Atlantique Nord
- Tortue luth
- Loup à tête large
- Loup tacheté
- Sébaste d’Acadie
- Rorqual commun
- Raie tachetée
- Rorqual à bosse
- Tortue caouanne
- Requin blanc
- Marsouin commun
- Anguille d’Amérique
- Plie canadienne
- Morue franche
- Loup atlantique
- Pèlerin
- Rorqual bleu
- Grenadier de roche
- Maraîche
- Épaulard
- Baleine à bec commune
- Raie à queue de velours
Utilisation d’un système de caméras infrarouges pour détecter les espèces de mammifères marins en péril à proximité d’un réseau de canons à air
Utilisation d’un système de caméras infrarouges pour détecter les espèces de mammifères marins en péril à proximité d’un réseau de canons à air
Bénéficiaire : Upun-LGL Limitée
Objectif du projet : Ce projet de trois ans contribue au rétablissement des espèces de mammifères marins en péril en facilitant la mise au point, le déploiement et la mise à l’essai d’un système de caméras infrarouges commercialement viable, monté sur un navire (VB-IR), qui peut être utilisé à bord de navires d’exploration sismique au large de Terre-Neuve-et-Labrador (et ailleurs) pour améliorer les efforts actuels de détection des mammifères marins. Les meilleures capacités de détection, en particulier la nuit, appuieront la mise en place de mesures d’atténuation visant à réduire au minimum les effets auditifs potentiels du son des canons à air sur les mammifères marins. Le système de caméra VB-IR peut également être utilisé sur d’autres navires commerciaux (c’est-à-dire les cargos, les pétroliers et les traversiers) pour détecter les grandes baleines et réduire au minimum le risque de collision avec les navires.
Upun-LGL Limitée collabore avec le gouvernement du Nunatsiavut sur ce projet de recherche appliquée. Les parties travailleront ensemble dans le cadre de formations techniques, d’analyses de données, de rapports et pour la publication des résultats.
Fonds alloués : 307 500 $
Échéancier : 3 ans
Espèces qui bénéficient de ce projet :
- Baleine noire de l’Atlantique Nord
- Rorqual bleu
- Baleine à bec commune
- Baleine à bec de Sowerby
- Rorqual commun
- Rorqual boréal
- Épaulard
- Rorqual à bosse
- Petit rorqual
- Cachalot macrocéphale
- Baleine à bec de Cuvier
Annonce aux médias :
Le gouvernement du Canada adopte de nouvelles mesures supplémentaires pour protéger la baleine noire de l’Atlantique Nord.Le Sentier Béluga : un réseau de sites d’observation terrestres « connectés » comme remplacement de l’observation en mer
Le Sentier Béluga : un réseau de sites d’observation terrestres « connectés » comme remplacement de l’observation en mer
Bénéficiaire : Groupe de recherche et d’éducation sur les mammifères marins (GREMM)
Objectif du projet : Ce projet de quatre ans a pour objectif de réduire les perturbations physiques et acoustiques pour les mammifères marins en péril en élaborant une solution de remplacement novatrice pour l’observation en mer et en soutenant les efforts de surveillance et de recherche à long terme.
Le projet mobilisera plusieurs intervenants de la conservation, de l’éducation et de la recherche afin de mieux comprendre le comportement des mammifères marins et de réduire le dérangement occasionné sur l’eau par les plaisanciers. Ces groupes travailleront à un objectif commun de sensibilisation aux baleines afin de mieux les protéger dans le parc marin et l’ensemble de leurs aires de distribution.
Fonds alloués : 1 362 050 $
Échéancier : 4 ans
Espèces qui bénéficient de ce projet :
Mise en œuvre de la région de Pikialasorsuaq – Planification de la capacité communautaire et de la surveillance des espèces en péril dirigée par les Inuits
Mise en œuvre de la région de Pikialasorsuaq – Planification de la capacité communautaire et de la surveillance des espèces en péril dirigée par les Inuits
Bénéficiaire : Conseil circumpolaire inuit (Canada) Inc.
Objectif du projet : Ce projet d’un an consiste à diriger les discussions entre les dirigeants inuits afin d’élaborer un plan de gestion sur l’utilisation et la conservation futures de la région de Pikialasorsuaq. Il vise à entreprendre la planification initiale et la mise en place de partenariats afin de positionner au mieux une autre organisation inuite pour entreprendre de futurs projets avec les communautés de la région de Pikialasorsuaq et de préparer un plan pour les espèces en péril qui s’inscrit dans un plan de gestion global plus large et travailler à améliorer la surveillance.
Fonds alloués : 11 500 $
Échéancier : 1 ans
Espèces qui bénéficient de ce projet :
Évaluation et gestion des perturbations acoustiques pour les baleines boréales
Évaluation et gestion des perturbations acoustiques pour les baleines boréales
Bénéficiaire : Wildlife Conservation Society Canada
Objectif du projet : Ce projet de quatre ans vise trois objectifs principaux : 1) déterminer la répartition estivale de la population de baleine boréale des mers de Béring-des Tchouktches-de Beaufort et mesurer son exposition au bruit sous-marin; 2) évaluer la réaction des baleines boréales au bruit sous-marin des navires; et 3) élaborer des modèles de stratégies de gestion pour réduire le bruit sous-marin dans les principales zones occupées par les populations de baleine boréale des mers de Béring-des Tchouktches-de Beaufort et de l’est du Canada et de l’ouest du Groenland, en formulant des recommandations.
La surveillance acoustique permet de mettre à jour et de clarifier la répartition spatiale et temporelle des populations, ce qui sera utile aux gestionnaires de la faune et aux conseils de cogestion lorsqu’ils doivent prendre des décisions sur les activités humaines qui perturberont les baleines boréales. La surveillance acoustique fournit la première estimation du bruit sous-marin généré par les navires dans les zones clés occupées par la baleine boréale dans l’ouest de l’Arctique canadien, ainsi que des estimations des niveaux de bruit de fond. L’évaluation du comportement des baleines boréales en réaction aux navires et à leur bruit procure des informations précieuses, comme des estimations de l’augmentation de la dépense énergétique lorsque les baleines rencontrent des navires.
Enfin, la modélisation acoustique de divers scénarios de gestion et d’atténuation offre aux gestionnaires de la faune et aux conseils de cogestion des informations sur la manière de minimiser la quantité de bruit sous-marin auquel les baleines boréales sont exposées.
Fonds alloués : 1 048 491 $
Échéancier : 4 ans
Espèces qui bénéficient de ce projet :
Surveillance du refuge acoustique dans Sydney Inlet
Surveillance du refuge acoustique dans Sydney Inlet
Bénéficiaire : Clayoquot Biosphere Trust
Objectif du projet : Ce projet de quatre ans vise à sensibiliser aux sons naturels et aux bruits d’origine anthropique et à leur intersection avec les habitats d’alimentation importants pour des mammifères marins en péril. Pour ce faire, le projet mène des recherches pour comprendre l’importance écologique des lieux « calmes » qui sont riches en sons naturels et très peu perturbés par des bruits humains (anthrophonie).
Il consiste à rassembler des données bioacoustiques de référence pour définir des profils de perturbation sonore humaine et mettre au point le premier ensemble de signatures sonores de l’habitat pour les mammifères marins en péril dans les eaux de la baie Clayoquot, en Colombie-Britannique. Des recommandations seront élaborées afin 1) de guider la réduction de la perturbation sonore humaine dans les habitats marins et 2) d’évaluer l’efficacité d’un refuge acoustique (sanctuaire) dans Sydney Inlet, une aire d’alimentation connue pour plusieurs espèces de mammifères marins en péril, et d’élaborer des recommandations de gestion pour Pêches et Océans Canada, les partenaires communautaires et les intervenants de l’industrie maritime dans la région.
La communauté des secteurs qui utilisent la mer dans la région de la réserve de biosphère de l’UNESCO de la baie Clayoquot peut ainsi améliorer et échanger la connaissance du paysage sonore marin, acquise à partir des données bioacoustiques. Un réseau d’apprentissage est également soutenu, en mettant l’accent sur la réduction des perturbations acoustiques dues aux activités humaines dans les habitats d’alimentation des mammifères marins en péril.
Fonds alloués : 388 052 $
Échéancier : 4 ans
Espèces qui bénéficient de ce projet :
Navires, baleines et détection acoustique dans le territoire traditionnel des Gitga'at
Navires, baleines et détection acoustique dans le territoire traditionnel des Gitga'at
Bénéficiaire : Fonds mondial pour la nature (Canada)
Objectif du projet : Ce projet de quatre ans est une collaboration entre la Première Nation Gitga'at, la North Coast Cetacean Society (NCCS) et le Fonds mondial pour la nature (WWF‑Canada) pour faire avancer la recherche sur les interactions entre les baleines et les navires. Ce projet vise à mettre au point des outils de suivi en temps réel des baleines et des navires et à élaborer en collaboration des mesures d’atténuation pour réduire l’impact de la navigation commerciale (p. ex., le bruit et les collisions avec les navires) sur quatre populations d’espèces de baleines en péril dans l’une des zones les plus importantes de la région concernant les baleines, soit le chenal Squally et le passage Lewis sur le territoire traditionnel des Gitga'at, sur la côte nord de la Colombie-Britannique.
Pour atteindre cet objectif, ce projet : (1) fait le suivi des niveaux de bruit ambiant et du trafic maritime; (2) élabore un outil de détection acoustique des baleines et de suivi des navires en temps réel; (3) met à jour les cartes de répartition et d’utilisation de l’habitat pour chaque espèce et les combine aux observations du comportement des baleines face aux navires afin de mieux comprendre les risques liés au trafic maritime actuel et futur; (4) entreprend des efforts de sensibilisation auprès du secteur et de la communauté locale concernant les baleines et leurs interactions avec le trafic maritime; et (5) élabore et met à l’essai en collaboration des mesures d’atténuation visant à réduire le risque de collisions ou les impacts du bruit.
Le projet mobilisera la communauté Gitga'at et l’industrie du transport maritime en vue d’élaborer et de mettre en œuvre en collaboration des outils et des mesures d’atténuation visant à réduire les risques de collision avec les navires et de perturbation acoustique pour les populations de baleines en péril dans la zone du projet. Le projet permettra également de renforcer les capacités locales pour continuer à surveiller et à gérer les impacts futurs sur ces baleines et d’établir des collaborations qui favoriseront le rétablissement de ces espèces.
Fonds alloués : 1 362 938 $
Échéancier : 4 ans
Espèces qui bénéficient de ce projet :
Un réseau d’hydrophones à l’échelle de la Colombie-Britannique pour la surveillance et la gestion de l’habitat des cétacés
Un réseau d’hydrophones à l’échelle de la Colombie-Britannique pour la surveillance et la gestion de l’habitat des cétacés
Bénéficiaire : North Coast Cetacean Society
Objectif du projet : Ce projet de quatre ans soutient une collaboration entre des organisations qui exploitent des hydrophones (c’est-à-dire des microphones sous-marins) et des laboratoires de recherche sur les côtes centrale et sud de la Colombie-Britannique.
Le « Réseau » mis en place dans le cadre du projet vise à permettre aux organisations spécialisées dans la recherche sur les baleines de constituer, de tenir à jour et d’enrichir un système d’information partagé à l’échelle de la côte. Il permettra de collecter des données acoustiques et visuelles sur l’activité des mammifères marins en utilisant des normes et des protocoles uniformes grâce à un équipement entretenu et calibré de manière professionnelle. Tous les membres du réseau travaillent à regrouper et à archiver sur un seul serveur des ensembles de données comparables et de haute qualité afin de préserver leur intégrité à long terme et de les rendre consultables et disponibles à des fins de recherche, de gestion, d’intendance et d’éducation. Cette base de données acoustiques permettra aux chercheurs de comparer les impacts du trafic maritime sur les mammifères marins en péril dans des zones qui diffèrent sur le plan environnemental et acoustique, et d’évaluer comment le paysage sonore de l’océan évolue dans le temps.
À mesure que nous comprenons mieux les impacts du bruit sous-marin d’origine anthropique sur la vie marine, ce réseau d’hydrophones façonnera et servira les objectifs écologiques de la société en matière de protection du milieu marin, en mettant l’accent sur les espèces en péril.
Fonds alloués : 1 800 000 $
Échéancier : 4 ans
Espèces qui bénéficient de ce projet :
Tirer parti de 30 ans de recherche axée sur la conservation pour atténuer les menaces qui pèsent sur les populations de mammifères marins en péril
Tirer parti de 30 ans de recherche axée sur la conservation pour atténuer les menaces qui pèsent sur les populations de mammifères marins en péril
Bénéficiaire : Ocean Wise Conservation Association
Objectif du projet : Ce projet de quatre ans s’attaque à deux menaces marines prioritaires pour les espèces aquatiques en péril dans les eaux côtières de la Colombie-Britannique : les perturbations physiques et acoustiques et les interactions avec la pêche. Pour ce faire, le projet améliorera d’abord le système d’alerte WhaleReport, un outil qui permet de communiquer en temps réel les observations de baleines aux navires commerciaux afin de les inciter à minimiser les perturbations pour les baleines à proximité. Ce système est étendu plus au nord le long de la côte de la Colombie-Britannique pour augmenter le nombre de rapports d’observation dans les eaux entourant Haida Gwaii. Ce projet vise à réduire le risque de perturbation acoustique et de collision avec les navires pour les mammifères et les reptiles marins.
En outre, il s’efforce de comprendre les impacts de la pêche sur la diminution de la nourriture disponible pour les épaulards résidents en élargissant les études de photogrammétrie aérienne par drones de la côte nord-est de l’île de Vancouver aux groupes familiaux qui utilisent des eaux plus septentrionales sur la côte centrale de la Colombie-Britannique, du détroit de Johnstone au nord de Haida Gwaii. L’élargissement de ces études vise à combler des lacunes dans les connaissances relatives aux impacts de la pêche sur l’état nutritionnel et la santé des épaulards et peut guider les décisions de gestion du saumon quinnat, la principale source alimentaire de l’épaulard résident du sud.
Fonds alloués : 440 000 $
Échéancier : 4 ans
Espèces qui bénéficient de ce projet :
- Épaulard résident du nord
- Épaulard résident du sud
- Épaulard migrateur
- Épaulard du large
- Rorqual à bosse (population du Pacifique Nord)
- Rorqual bleu (population du Pacifique)
- Rorqual commun (population du Pacifique)
- Rorqual boréal (population du Pacifique)
- Baleine grise (population du nord-est du Pacifique)
- Marsouin commun (population de l’océan Pacifique)
- Tortue luth (Population canadienne du Pacifique)
- Saumon quinnat
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